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  • Galerie d'art de Créteil

    Il y a 13 ans

    / Actualités

    • 1 - Cassures - Galerie d'art de Créteil
      Cassures - Galerie d'art de Créteil
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      Cassures - Galerie d'art de Créteil
    • 3 - Cassures - Galerie d'art de Créteil
      Cassures - Galerie d'art de Créteil
    • + 3 media(s)
    Pauline FOUCHÉ
 Photographie

    Exposition personnelle du 16 Janvier au 20 Février 2010
    Galerie d’Art de Créteil
    10, avenue F. Mitterrand 94000 Créteil

    Pour son exposition à la galerie d’Art de Créteil, elle a choisi de présenter deux séries photographiques dont les enjeux artistiques se rejoignent, tout en abordant la question du point de vue et de l’image de façon quasiment opposée. Ainsi, les Cassures malmènent les images diffusées par les grands médias et nous confrontent à la fragilité des pages sur lesquelles elles s’inscrivent, exprimant la distance entre l’évènement et sa représentation. La série des Élévations tente elle, de définir un rapport d’échelle et de distance là où l’humain est pris dans l’image elle-même, inscrit dans un paysage intermédiaire improbable auquel il est confronté sans y échapper.
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    Thème : Arts plastiques
  • Echappe 2007

    Il y a 13 ans

    / Projets / Présentation

    Echappe 2007
    Série photographique de 12 photos couleur (tirage numérique, format 60x90cm)

    Chaque personne était invitée à se photographier en mangeant une pomme et libre de prendre autant de photographies qu’elle voulait. L’image sélectionnée est la plus ambiguë, la plus énigmatique, celle qui montre des visages déformés par la mastication, proches de la grimace.
    Par ce protocole, l’image recherchée est celle “qui nous échappe“, incontrôlée, mais consciente. Consciente car elle est actionnée par la personne qui pose et incontrôlée par l’action saisie au moment de la prise de vue.
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    Thème : Arts plastiques
  • CASSURES 2002 / 2008

    Il y a 13 ans

    / Projets / Présentation

    CASSURES  2002 / 2008
    Série photographique de 10 image ( numérique couleur, format variable)

    Les Cassures matérialisent l’image-évènement dont abondent les journaux à travers une réappropriation par le geste et l’image. Malmenées, rendues à la fragilité de leur apparence et du support sur lequel elles s’inscrivent, ces images tentent de révéler d’autres espaces où le sujet perd son rapport direct à l’actualité, exprimant la distance entre l’événement et sa représentation.

    « Pauline Fouché travaille notre rapport aux images d’actualité (notamment celles de la guerre et du drame humain) par le geste-motif de la Cassure. Il se produit, par la reproduction photographique de papier journal froissé, une image imprenable sur un envers ou un débord de la représentation, à la fois fêlure et invagination. On entendrait presque le son d’un entrechoc où se fracturent anarchiquement les lignes de temps : tragédie de l’événement, factualité du traitement médiatique, ébranlement du regard. »
    Morad Montazami
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    Thème : Arts plastiques
  • 1/60ème 2006

    Il y a 13 ans

    / Projets / Présentation

    1/60ème 2006
    Installation vidéo numérique couleur montée en boucle (dimension variable)

    Dans une pièce vide, un écran est fixé sur le mur.
    Ce que l’on voit est un écran noir, qui semble éteint. Jusqu’au moment où des flashs se déclenchent et éclairent brutalement la scène. En une fraction de seconde, 1/60ème, on voit la photographie qui vient d’être déclenchée. Le temps d’action des flashs correspond au temps de déclenchement de l’obturateur de l’appareil photographique. Dans cette vidéo, le temps pendant lequel les flashs éclairent le visage est exactement le même que celui de la photo. Je propose une lecture exacte du temps photographique.
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    Thème : Arts plastiques
  • Persiste 2005

    Il y a 13 ans

    / Projets / Présentation

    Persiste 2005
    Double projection en vis-à-vis de diapositives couleur sur deux écrans phosphorescents (dimension variable)

    Dans “Persiste“, la photographie fait partie d’un dispositif lumineux. Cette installation montre des visages aux expressions fortes, dures, intances, concentrées, aux regards fixes qui captent l’attention. Ces portraits sont projetés dans une pièce obscure, sur des écrans phosphorescents où l’accumulation des images déforme les visages jusqu’à la monstruosité.
    Il peut être difficile de trouver une explication rationnelle à l’existence de ces visages, est-ce une persistance rétinienne, une rémanence, une empreinte ou bien encore une autre image ? Le spectateur est pris entre ces visages lumineux et fantomatiques, l’obscurité et le bruit répétitif des machines.
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    Thème : Arts plastiques
  • Élévations 2010

    Il y a 13 ans

    / Projets / Présentation

    Élévations 2010
    Série photographique numérique couleur (format 80x120cm)

    Dans cette série, les paysages naissent d’une tension entre la nature et l’espace urbain. L’humaine, réduit a sa silhouette, s’y inscrit par défaut, comme pris au piège, comme étranger à son environnement. Par sa position, tournée vers un horizon indistinct, le personnage chercher un ailleurs au-delà du visible, questionnant les limites de l’image. La série tente de définir un rapport d’échelles et de distances là où l’humain est pris dans l’image, inscrit dans un paysage, intermédiaire et improbable, auquel il est confronté sans pouvoir y échapper.

    Elévation


    Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
    Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
    Par delà le soleil, par delà les éthers,
    Par delà les confins des sphères étoilées,

    Mon esprit, tu te meus avec agilité,
    Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde,
    Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde
    Avec une indicible et mâle volupté.

    Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides;
    Va te purifier dans l'air supérieur,
    Et bois, comme une pure et divine liqueur,
    Le feu clair qui remplit les espaces limpides.

    Derrière les ennuis et les vastes chagrins
    Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
    Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
    S'élancer vers les champs lumineux et sereins;

    Celui dont les pensers, comme des alouettes,
    Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
    - Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
    Le langage des fleurs et des choses muettes!

    Charles Baudelaire
    Elévation est le troisième poème de la section "Spleen et Idéal" de Les Fleurs du Mal
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    Thème : Arts plastiques
  • Catalogue de Jeune création 2008

    Il y a 13 ans

    / Publications

    Catalogue de Jeune création 2008

    http://fouche.metaproject.net/files/media_file_91711.pdf

    Octobre 2008 _ Catalogue de Jeune création 2008

    Thème : Arts plastiques
  • Catalogue d’exposition Figure de l’humain : L’autre e(s)t moi

    http://fr.calameo.com/read/000314093906d92eba5a1

    Février 2011 _ Semaine 08.11. Catalogue d’exposition Figure de l’humain : L’autre e(s)t moi avec des textes de Célia Charvet (commissaire de l’exposition) avec Monique Chiron et Michèle Waquant

    Thème : Arts plastiques
    • 1 - Carton d'exposition
      Carton d'exposition
    • 2 - Carton d'exposition
      Carton d'exposition
    • 3 - Échappe - credits photo Aurélien Mole
      Échappe - credits photo Aurélien Mole
    • + 1 media(s)
    Vernissage Vendredi 14 Janvier 2011
    Commissariat : Célia Charvet, en collaboration avec Monique Chiron et Michèle Waquant

    École d’Art Gérard Jacot, Belfort
    Exposition du 15 Janvier au 19 Mars 2011

    Le Granit/Scène Nationale Belfort
    Exposition du 15 Janvier au 3 Mars 2011

    Avec : Pauline Curnier-jardin, Pauline Fouché, Elina Juopperi, Laurence Nicola, David Orstman, Sung-A Yoon, Lorena Zilleruelo

    Figures de l’humain (I) : L’autre e(s)t moi, est le premier volet d’une programmation consacrée à la question de la représentation de l’humain dans l’art contemporain. Cette exposition rassemble sept artistes émergents, issus de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Cergy-Pontoise, sélectionnés d’après des propositions de Michèle Waquant, artiste et enseignante à l’école.

    A travers une pluralité d’images, de formes et d’univers, les œuvres rassemblées mettent en jeu la question de l’identité en interrogeant l’humain dans sa complexité. Parmi ces différentes approches, le monstrueux, l’animalité ou la choséité sont autant de partis pris qui font surgir la part de l’humain au-delà des apparences, voire au-delà des visages et des corps. Les figures présentées relèvent ainsi d’artifices, de postures et de signes qui évitent les poses et traduisent les multiples facettes de l’expression de l’humain – y compris dans sa cohabitation avec l’inhumain.

    Se forment ainsi des territoires d’exploration de l’humain, où l’acuité des regards se charge tour à tour d’une dimension absurde, ironique, tendre, humoristique ou sensuelle. Si l’exposition rend compte d’une confrontation permanente de l’homme avec les évènements, avec l’espace et le temps, l’histoire et les objets, elle est principalement orientée autour de la confrontation des hommes entre eux. C’est le choc de ces confrontations qui donne forme(s) à l’humain en l’inscrivant dans ses réalitées. Empreintes de fragilité, celles-ci nous sont données à voir et à entendre dans leur singularité mais aussi dans leur potentialité à dépasser l’intime et le particulier pour rejoindre le vaste ensemble du genre humain.
    Ces œuvres opèrent toute une série de déplacements, densifient les points de vue, intervertissent les rôles et font glisser les définitions. Entre l’autre et moi, une infinité de relations qui rapprochent autant qu’elles séparent. Une foule de nuances qui projette une vision kaléidoscopique de l’humain. Et si l’autre, c’était moi ?

    Célia Charvet
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    Thème : Arts plastiques
  • Miroir noir 2011, vidéo de 7'

    Il y a 13 ans

    / Projets

    Thème : Arts plastiques