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    Il y a 11 ans

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    Rabat, samedi 24 août 2013
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    Snapshots. (Shot with an iPhone).

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    Rabat, dimanche 11 aout 2013
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    Il y a 11 ans

    / BLOG JOURNAL VOYAGES MOIRS EXORCILS ET POEMSONGS PORTRAITS HORSLADORS / poèmsongs

    Ascenseur
    Emmène-moi ailleurs
    Ailleurs
    Ailleurs
    Emmène-moi ailleurs
    Ailleurs dans le matin
    Ailleurs dans le ciel de ta tête
    Retourne-moi en enfance
    Ailleurs mes doigts
    Ailleurs mes rêves
    Ailleurs mes rires
    Ailleurs au bord
    D'autres lignes à franchir
    A suspendre
    D'autres battements de coeurs
    D'autres innocences à ouvrir
    D'autres ignorances à fouler à gravir
    Ailleurs mon désastre
    Ailleurs ton champ de vision
    Ailleurs mon extase
    Ailleurs ma lutte
    Ailleurs dans ta perte
    Ailleurs et tous ces sentiments dont je n'ai jamais parlé
    Le haut mal
    Ailleurs du regard
    Ailleurs du père
    Ailleurs de l'impair
    Ailleurs de tous mes repères
    Au-delà des attentes des déceptions des conceptions
    Au-delà du féminin du masculin
    Au-delà du mal du bien
    Au delà de l'être
    De l'ombre du rythme
    Du fondamental
    Du majeur du mineur
    Ailleurs
    Ailleurs autre part
    Ailleurs qui s'éloigne
    Ailleurs pourtant proche
    Ailleurs la vérité
    Ailleurs l'ambiguité
    Ailleurs le trouble
    Ailleurs intégral
    Partir ailleurs
    Au-delà de la langue du cri du son du souffle
    Ailleurs que dans mon bruit de crâne qui roule
    Qui a une boule derrière
    Qui me serre
    Loin de ma foudre psychique
    Mon orage intérieur
    Mon orbite sensible
    Ma peur de l'aube
    Du froid
    De la grotte
    Fais-moi de l'espace du silence
    Ailleurs que dans mes creux
    Mes vides
    Mes incohérences
    Mon désordre
    Mon désir
    Ailleurs

    Aurore Laloy, texte écrit, lu et enregistré pour les 2 ans de l'émission de radio Hôtel Paradoxe en Mars 2013
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    La Presqu'elle, performance de poésie et violoncelle acoustique, plongée dans l'imaginaire féminin, sauvage et puissant avec : Texte / voix : Aurore Laloy - Violoncelle / voix : Automne Lajeat

    La Presqu'elle a joué au 15ème symposium des ateliers du non-faire, séminaire art et psychiatrie organisé par Christian Sabas, au festival Distorsion au Centre Barbara Fleury Goutte d'Or, à la Galerie La Marée pendant l'exposition la Clé des chants au Printemps des poètes, et se produit regulièrement à l'émission Hôtel Paradoxe sur Radio Libertaire 89.4fm.

    Crédits photos 
    © François Ramstein / Service des Urgences Poétiques

    © Perry Leopard
    © David Haddad
    © Anais Bourquin

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      Le Bestiaire copy
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    Honneur au vagin avec cette carte blanche pour la journée internationale de la femme présentant un cabaret de femmes effrontées, bestiaire de diseuses de poésie révélant leur féminité en explorant leur animalité.

    Le Bestiaire, une performance indisciplinaire d'Aurore Laloy (m.e.s. / textes) avec les diseuses Automne Lajeat, Yanne Abad, Laura Peneitti, Orfo, Francesca Faiella, Morgane Pisoni, Marc de Boni. Perruques et postiches : Antoine Mancini. Maquillage : Anne-Laure Tardy. Guests surprises : découverte de Leviathan, une pièce sonore de Jules Wysocki à écouter sous casque. Eric da Silva : pour une lecture déjantée de son texte : Lituanie first portrait. Festival kaleidoscope, organisé par les étudiants de l'IESA à la Dame de Canton, Paris, 8 mars 2013. Les photos ont été prises par François Ramstein et Hélène Bozzi.

    Contexte :
    Dans le cadre de cette carte blanche que le festival Kaleidoscope m'avait donnée pour organiser des "performances" pour la journée internationale de la femme sur la péniche de la Dame de Canton, j'ai d'abord intuitivement proposé de transformer la jolie jonque de bois parquée sur le quai de Seine face à la Bibliothèque François Mitterand en "vagin-péniche". Mon idée était de faire vivre un rite initiatique au public en lui faisant traverser la passerelle relookée en long couloir de tissu couleur chair, et d'honorer ainsi le "vagin". Cette proposition à laquelle les organisateurs du festival ont tout de suite adhéré et qu'ils souhaitaient soutenir a été jugée un peu trop "seventies" ou en tout cas trop choquante pour le lieu, et devant le refus général de monter un projet valorisant le vagin, même dans le cadre de la journée de la femme, je me suis grandement interrogée sur les frappantes différences d'acceptation du mot "performance", totalement endogène en fonction de la branche du milieu artistique dans lequel mon interlocuteur se place : la performance en danse, la performance en art contemporain, la performance en poésie, la performance en art visuel, la performance en architecture, la performance en peinture, la performance en musique contemporaine, la performance et spectace vivant, la performance en théâtre, la performance en performance... Et me suis d'un coup posé la question de pourquoi j'avais été invitée à organiser des "performances", dans un lieu pour lequel la "performance" correspond à priori uniquement à du burlesque, c'est à dire à des effeuillages sexys parfois comiques et souvent alimentant la grande machine à préjugés sexistes. Pour ne pas annuler la possibilité d'honorer la femme au prétexte d'une erreur de casting, j'ai cherché comment transformer cette déception en réussite, et eu envie de proposer un effeuillage intellectuel sous forme d'un cabaret de poésie, autant dire de performances non-burlesques. Par cette pirouette, effeuillage il y aurait, tout le monde semblait retrouver la motivation de travailler à ce projet, et le lieu, et les organisateurs, et l'équipe de gonzesses à forte personnalité que je réunissais dans le but de monter ce qui allait devenir Le Bestiaire, une performance indisciplinaire de femmes diseuses de poésie et révélant leur part animale. Le cabaret de poésie s'acheverait par un concert des délicieuses Little Ballroom, le groupe de poésie punk le plus sexy de la terre. Et je n'avais plus qu'à m'atteler à la tâche et écrire les volets du Bestiaire. Aurore Laloy, mars 2013.

    Crédits Le Bestiaire 2013
    Photos © Hélène Bozzi
    Photos © Festival Kaleidoscope
    Photos et Visuel © François Ramstein / Service des Urgences Poétiques

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    Peut-être pas ma première fiction radiophonique, mais ma première fiction radiophonique / spectacle vivant ! En donnant carte de blanche à Hôtel Paradoxe, Anne Dreyfus, directrice artistique du Générateur me permet de réconcilier mes deux passions, la radio et la scène vivante, en mettant en scène une pièce mélant poésie, musique et performance, dont le public est l'acteur principal, enfermé au milieu quinze actrices incarnant le service d'ordre du Bunker Paradis, et de quinze musiciens rythmant le cabaret retransmis en direct sous forme de pièce radiophonique aux auditeurs de Radio Libertaire. Cette performance reste un souvenir impérissable de grand challenge et de belle réussite.

    ■ □ ■ Bunker Paradis ■ □ ■
    Performance mise en scène par Aurore Laloy, spectacle radiophonique vivant, création sonore chez les morts, émission de radio Hôtel Paradoxe diffusée en direct du Générateur à Gentilly sur les ondes de Radio Libertaire dans le cadre de [ frasq ] rencontre de la performance 2012. La pièce radiophonique - en écoute ici - a été suivie d'une bande sans fin - en écoute là - composée par Bonne Humeur Provisoire http://bonnehumeurprovisoir.free.fr/

    En attendant que leurs dossiers soient traités, des fonctionnaires de l'au-delà font patienter les victimes d'un bombardement en leur proposant un cabaret de la première heure.

    Avec ■ □ ■
    Le Bureau de l'Administration :
    Numéro 1 : Félix Jousserand
    Numéro 2 : Abd El Haq
    Numéro 0 : Aurore Laloy

    Le Cabaret de l'Administration :
    L'orchestre-jingle : Foot-Foot (Nicolas Poignet, Julien Printemps et Adrien Kanter)
    La mi-femme - mi juke-box : Déborah Dégouts
    La chanteuse-fumeuse et son accordéon : Audrey Champenois
    La confesseuse : Automne Lajeat et son violoncelle
    Le voyage dans le temps : Eugène et Lucien au theremin et gramophone
    Le professeur de MortemLog et beatbox : Sébastien Lagoutte
    Dans la piscine : Eleonore Lebidois & Pol Poliourth
    L'équipe d'infirmiers de l'HP : Matilda Kime, Chloe Bonifay, Morgane Lloyd-Pisoni, Emile Feltesse, Garance Lobotomie, Anne-Laure Tardy

    Le personnel du bunker :
    Projections et Choeurs : François Ramstein
    Magicien du son et technique : Patrick Muller
    Regie lumière : Antoine Cherix
    Mise en scène : Aurore Laloy
    et avec le public du Générateur

    Textes : Félix Jousserand - Abd EL Haq - Aurore Laloy
    Crédits Chansons : Léopold Tambour/ Eléonore Lebidois - Déborah Dégouts/ Félix Jousserand
    Besame Mucho - We'll Meet again/ Vera Lynn - Eugène & Lucien/ Eugène & Lucien

    Toutes les infos sur la page dédiée à Bunker Paradis sur le site de [ frasq ] rencontre de la performance 2012 www.frasq.com

    Crédits Bunker Paradis 2012 : 
    Photos © FRASQ 2012, la rencontre de la performance au Générateur
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      1110_Le_Minotaurore_Le_Generateur
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      flyer
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      galerie limitis frasq
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    Au centre d'un labyrinthe tracé à la craie, au milieu de cartons de pizzas, avachie en jogging devant une télévision dont les enceintes crachent des messages publicitaires, j'incarne le Minotaurore qui attend le prochain épisode de la nouvelle émission de télé-réalité dont Thésée est le héros. Sauf que cette fois c'est l'épisode où Ariane et Phèdre, filles de Minos et de Pasiphaé, demies-soeurs du monstre, débarquent sur le yacht luxueux du fils d'Egée.

    C'est vrai ça ! Et si on s’était complètement planté sur le Minotaure ? Et si le Minotaure avait été une femme ? Et si l’histoire était racontée du point de vue du monstre et non pas du héros ? Et si le Minotaurore avait un cœur ? Le Minotaurore, une version déviante des frasques mythologiques de Thésée et du monstre à tête de bovin.

    Conte ero-tauromachique dédié aux enfants qui tètent trop les mamelles de la Déesse-Mère Télévision, la performance du Minotaurore a été presentée au Générateur pendant frasq 2011, la rencontre de la performance sur l'invitation de la Galerie Limitis : poésie environnementale. Performance / texte : Aurore Laloy. Sur une illustration sonore de François Ramstein.

    Crédits photos et visuels Le Minotaurore 2011 :
    Photo © FRASQ 2011, la rencontre de la performance au Générateur
    Dossier de presse © Galerie
    Limitis
    Visuel © François Ramstein / Service des Urgences Poétiques
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  • Le pantin, mon premier rôle en tant qu'acteur
    Mon premier rôle dans un long-métrage, avec Philippe Gouin et Daniel Berlioux. Réalisation Mallory Grolleau. Au début du tournage je suis une femme, à la fin, je ne sais plus trop, la preuve : bande-annonce LE PANTIN

    Synopsis
    Esteban quitte l’Algérie et traverse la France pour aller en Angleterre. Franchissant la Manche, ses passeurs le jettent à l’eau. Par miracle, il échappe à la noyade et est recueilli par Raphaëlle. L’hospitalité se fait enfermement. Dans un jeu de miroir, elle se masculinise tandis qu’il se travestit jusqu’à devenir son objet sexuel. Leur couple s’installe dans un équilibre déviant. La jalousie de Joseph, figure de père adoptif de Raphaëlle, les mène alors sur des pans de plus en plus abrupts.

    Crédit photo © Déborah Dégouts
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    Franco Mannara m'appelle pour me demander si ça me tente de jouer de la batterie dans le clip de sa nouvelle chanson "Je te hais tendrement". Il me dit "T'inquiète, y'aura que de la gonzesse à personnalité." Ca me tente, mais je ne suis pas batteuse, il me dit "T'inquiète, c'est une batterie qui va t'éclater, elle en carton, tu vas voir." J'appelle quand même un pote batteur pour qu'il me donne quelques cours, et emballé c'est pesé ! Me voilà digne de Pepper Walker, soeur de Johnny Depp, enceinte pour la troisème fois, batteuse imbattable de Cry Baby de John Waters. 

    "Je te hais tendrement", de Franco Mannara, extrait de l'album "Sutures" (Rock paradise - Rue Stendhal).
    Clip à voir en cliquant ici. Réalisation Igor Juget.

    Crédit photo © Alice Guégen / Animals Production 2011
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