TOUS LES ARTICLES

David Tétard

David Tétard

Auteur, compositeur, interprète

www.jaitoujoursrevedetreungroupederock.fr

« J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock » est la formation solo de David Tétard dont le premier disque est sorti en 2010. Le style est partagé entre des influences rock, folk, et des soupçons de country. Au cours de sa précédente formation musicale « Tétard » il avait collaboré avec Philippe Almosnino, guitariste des Wampas, Pierre Dubost, bassiste du groupe Tarmac, mais aussi Gaëtan Roussel de Louise Attaque.
  • Don d'organe...

    Il y a 14 ans

    / J'ai toujours rêvé d'être un blog

    Don d'organe...

    J'veux des chagrin d'amour des peines de coeur
    Des accidents d'parcours des erreures sur erreures
    J'veux que toujours tu cours des heures après mon coeur
    Le soufle cour je suis l'arrache coeur

    Car moi le miens ne bat pas plus
    Qu'un coup sur quatre en retenue

    Petit bout de texte de la chanson envoyé contre un mail, dans le cadre de l'opération d'envergure que je viens d'élaborer : un mail/une chanson...
    Suite
    Thème : Musique
  • 21 Avril 2010

    Il y a 14 ans

    / Concerts

    21 Avril 2010

    Les Trois Baudets
    Paris (75)
    Fête la sortie de "j'ai toujours rêvé d'être un groupe de rock" avec ses copains...
    Suite
    Thème : Musique
  • Krinein Magazine

    Il y a 14 ans

    / Presse

    Krinein Magazine

    David Té­tard - J'ai tou­jours rêvé d'être un groupe de rockAprès 12 pures chan­sons en 2002, Mes dix doigts en 2005 puis Fau­dra faire avec en 2007 sor­tis sous le nom de Té­tard, David Té­tard se lance en solo, seule­ment ac­com­pa­gné d'une chan­teuse Cé­cile Her­cule et du mu­si­cien Mat­thieu Pei­gnoux, pour un qua­trième album J'ai tou­jours rêvé d'être un groupe de rock.Entre rock et chan­son
    The Wall ver­sion Té­tard

    David Té­tard a pré­cé­dem­ment col­la­bo­ré avec des poids lourds de la chan­son fran­çaise comme Phi­lippe Al­mos­ni­no des Wam­pas ou Gaëtan Rous­sel de Louise At­taque et Tar­mac. Pour ce nou­vel album, c'est cette fois Eric Di­gaire (Mat­ma­tah) qui réa­lise les onze titres de cet opus ancré pro­fon­dé­ment dans l'une des spé­cia­listes fran­çaises, le mé­lange rock/chan­son qu'ont po­pu­la­ri­sé ses pré­cieux aînés. Les ri­tour­nelles de gui­tare de L'im­pru­dence ou le faux rythme de J'ose pas ra­mènent in­évi­ta­ble­ment aux grandes heures de Louise At­taque, même si l'in­fluence du groupe pa­ri­sien, de­puis les dé­buts de Tê­tard, ne se fait sen­tir qu'oc­ca­sion­nel­le­ment. On pour­rait même évo­quer In­do­chine ou Mi­ckey 3D au dé­tour d'une chan­son ou d'une autre. Au fil de l'album, le rock éner­gique du pre­mier titre laisse petit à petit sa place à des chan­sons plus in­ti­mistes, plus tristes aussi. C'est ainsi que L'écume des jours se ré­vèle à l'au­di­teur ca­far­deux comme un jeudi du mois de mars quand le pla­fond des nuages des­cend sur terre pour mouiller de brouillard la terre. De la même façon, L'amour passe aux so­no­ri­tés nos­tal­giques ne peut qu'ar­ra­cher des sou­pirs mé­lan­co­liques et pas­séistes.Voix de ga­rage
    Scott Ba­ku­la ver­sion Té­tard

    Si David Té­tard se dé­marque de ses glo­rieux aînés, c'est cer­tai­ne­ment dans sa voix de gra­vier, une voix éraillée et grin­çante qui sur­vole le ter­roir fran­çais, ac­com­pa­gnée et adou­cie par la voix douce et aé­rienne de Cé­cile Her­cule (L'amour passe, La beau­té du geste). Cette voix si par­ti­cu­lière s'échine sur le plus beau des thèmes, celui qui fait battre les cœurs en­dur­cis et pleu­rer les mi­di­nettes, en peu­plant son uni­vers d'his­toires d'amours, d'amour ti­mide sur J'ose pas, d'amour tran­si sur La beau­té du geste, d'amour ou­blié sur L'amour passe, mais d'amour tou­jours. Le ta­lent de pa­ro­lier de Tê­tard tresse sur ces thèmes de biens beaux atours en croi­sant les roses, les pauses et ces choses qui in­dis­posent sur J'ose pas, en dé­cli­nant à l'in­fi­ni les mots en 'ile' sur Cé­cile ou en mul­ti­pliant les al­li­té­ra­tions chères à Ra­cine sur L'amour passe. Cette écri­ture donne un ca­chet par­ti­cu­lier à J'ai tou­jours rêvé d'être un groupe de rock et per­met à Té­tard de nous of­frir un album vrai­ment sym­pa­thique.   J'ai tou­jours rêvé d'être un groupe de rock s'ins­crit plei­ne­ment dans une chan­son fran­çaise mâ­ti­née de rock qui ne peut que char­mer l'au­di­teur. Certes on ne crie­ra pas à l'ori­gi­na­li­té, ni même au génie, mais les mé­lo­dies ac­cro­cheuses et la voix cas­sée de David Té­tard sau­ront être ce « petit bout de temps d'in­uti­li­té » que nous chante l'au­teur/com­po­si­teur.

    nazonfly
    Suite
    Thème : Musique
  • Ravis d'sortie...

    Il y a 14 ans

    / J'ai toujours rêvé d'être un blog

    Ravis d'sortie...

    Le 19 avril est le 109e jour de l'année (110e en cas d'année bissextile) du calendrier grégorien.

    -19 avril 1836 : Naissance de Ferdinand Cheval dit « le facteur Cheval », facteur rural et artiste naïf français.

    -19 avril 1904 : Fondation du journal L'Humanité par Jean Jaurès.

    -19 avril 1943 : Albert Hofmann rentre chez lui à vélo en ayant des hallucinations liées au LSD.

    -19 avril 1990 : Aux États-Unis, le président George Bush reçoit son homologue français François Mitterrand.

    -19 avril 2005 : Élection du cardinal Joseph Ratzinger, qui devient le pape Benoît XVI.

    -19 avril 2007 : Décès  de Niels-Henning Orsted Pedersen, contrebassiste de jazz danois.

    -19 avril 2010 : Sortie de l'album "j'ai toujours rêvé d'être un groupe de rock"...
    Suite
    Thème : Musique
  • J'en redemande...

    Il y a 14 ans

    / J'ai toujours rêvé d'être un blog

    J'en redemande...

    C’est fait... C’était samedi, à Tremblay-en-France... Comme pour bien préciser que mes rêves de jouer jour à New York, n’étaient plus qu’un lointain souvenir... Sauf peut être pour une soirée spéciale  chanson française au Carnegie Hall avec Rinan Luce and Binabar... Ce qui serait la classe... Ce qu’il en reste ? Un déjà lointain souvenir... Mais j’en redemande... Je post ainsi ici cette vidéo de ce samedi 13 février 2010, pour que le souvenir reste vivace... À suivre...
    Suite
    Thème : Musique
  • Longueur D'ondes

    Il y a 13 ans

    / Presse

    Longueur D'ondes

    David Tétard

    “J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock” - MVS / Anticraft

    Du changement dans la continuité pour le chanteur-compositeur David Tétard
    qui a décidé de débuter cette nouvelle décennie en apposant désormais à son
    nom, son prénom. Une manière de marquer le retour à l’essentiel que figure
    ce J’ai toujours rêvé être un groupe de rock, titre pied de nez pour illustrer un
    disque pop folk lo-fi écrit et composé en solo. Les amateurs de 12 pures
    chansons (2002) seront ainsi à la fête. Comme le dit sa biographie : “Le mot
    d’ordre de cet album : les mots et les mélodies”. “C’est un album de gens qui
    aiment la musique, mais pas un disque de musiciens, explique-t-il. Nous l’avons
    enregistré en quinze jours avec Eric Digaire dans une maison bretonne.”
    Seulement deux amis conviés : Cécile Hercule (la voix féminine du nouveau
    Mickey 3D) aux choeurs et en duo sur deux titres, ainsi que Matthieu Peignoux
    aux guitares, dernier élément de Tétard-le-groupe. Exit donc la formation
    rock’n’roll ainsi que les grands moyens mis en oeuvre sur le troisième opus
    Faudra faire avec, réalisé en 2007 avec Louise Attaque, Gaétan Roussel et
    Robin Feix. Un retour aux sources pour celui que l’on rapproche parfois de
    Miossec (“Bien que nous ayons tous les deux une voix grave et des chansons
    sur l’amour, on n’écrit pas du tout pareil et le flow est vraiment différent…”)
    et qui préfère avoir comme horizon Gainsbourg : “Il a longtemps été critiqué,
    mais il était maître en accoucheur de chansons pop de 2mn30 et il avait un
    grand talent d’auteur.” D’ailleurs, comme Serge, David apprécie les duos avec
    les demoiselles (Anna de Pony Express sur les deux précédents albums, Cécile
    ici) : “Une manière de contraster les propos très masculins de mes chansons
    par un point de vue féminin.” Il est vrai que les histoires d’amour sont toujours
    mieux à deux… même en chanson !
    Caroline Dall’o
    Suite
    Thème : Musique
  • L'irma, Newsletter d’été, sujet décalé...

    J’AI TOUJOURS RÊVÉ D’ÊTRE UN GROUPE DE ROCK

    Esprit rock, es-tu là ? Newsletter d’été, sujet décalé. À l’heure du revival rock, nous avons souhaité questionner l’esprit rock de quelques artistes et personnalités de la musique. "J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock", qu’est-ce que ça t’inspire ? Le rock a suffisamment d’histoire pour avoir ses icônes décédées, ses multiples sous-genres, sa place au musée et s’offrir un revival sans jamais avoir disparu des garages, des ondes et des scènes de France et de Navarre. Mais où en est l’esprit rock ? Est-il toujours sulfureux ? Sex, drogs & rock’n’roll for ever ? Le groupe et la bande de potes sont-ils toujours le socle identitaire du rockeur ?
    L’esprit rock s’est-il attendri avec l’âge ? Policé avec le business ? S’est-il réfugié dans ses styles les plus hard et durs d’oreille ? Enfui chez ses lointains cousins du hip hop ou de l’électro ?
    Ou est-il là comme au premier jour, comme une fulgurance énervée qui sautille et pogote sur des rifs qui crachent au monde l’envie de gueuler et de vivre ? Alors que tous les festivals d’été battent leur plein, que Clermont-Ferrand et Bordeaux se disputeront le titre de ville la plus rock de France en juillet, nous avons remarqué comme d’autres l’apparition d’une campagne de street marketing "J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock" [1]. Poché au sol ou sur les murs, ce slogan publicitaire a fleuri sur les abords des salles de concerts parisiennes. Nous avons voulu le lire autrement, le détourner et le faire vivre dans la bouche de musiciens, d’auteurs, de journalistes et de programmateurs… rockeurs ou pas, jeunots ou moins jeunots.Une seule question :
    "J’AI TOUJOURS RÊVÉ D’ÊTRE UN GROUPE DE ROCK"
    Qu’est-ce que ça t’inspire ? Photo du pochoir "J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock" pris en mai 2009 rue des Panoyaux, 75020, Paris

    A lire ici : http://www.irma.asso.fr/J-AI-TOUJOURS-REVE-D-ETRE-UN
    Suite
    Thème : Musique
  • Ahum, ahum, ahum, ahum...

    Il y a 13 ans

    / J'ai toujours rêvé d'être un blog

    Ahum, ahum, ahum, ahum...

    J’ai décidé en attendant la sortie de l’album de réaliser des petits clips... Pour accompagner les chansons bien sûr mais aussi pour rester actif artistiquement... Deux sont en ligne ici : http://www.youtube.com/user/tetardavid...   

    J’ai terminé la vidéo de la chanson « On sait ce qu’on perd », ça permet de se replonger dans l’ambiance de la chanson...( car, je ne suis pas constamment en train d’écouter mon travail, pas le temps vu le nombre de chansons sur le dernier Biolay)...   

    On sait ce qu’on perd pour moi est une chanson simple, entraînante, qui ne donne pas envie de se foutre une balle mais juste d’ouvrir la fenêtre de sa voiture et d’y accouder son bras en fredonnant ahum, ahum...    Pourtant  à lire les chroniques de l’album je ne serais qu’un mixe bâtard entre Miossec et Louise Attaque...  et finalement ça, ça me plaît...   

    C’est vrai que je n’ai pas les fêlures de l’alcool, ni même de l’amour... Aujourd’hui je suis content d’être heureux (ou peut être le contraire) et je veux que cela s’entende dans mes chansonnettes simples pour des gens simples, qui n’ont pas toujours envie de souffrir en écoutant de la musique... J’écoute bien sur des chansons fortes qui me transportent, mais je n’ai pas envie de feindre un malheur qui n’est pas le mien, alors oui je contemple mes pieds par fainéantise ou par peur de ce monde qui ne tourne pas rond...

    Petit cadeau pour ceux qui passe par ici : http://www.youtube.com/watch?v=EmF5OO6CaBA
    Suite
    Thème : Musique
  • Longueur D'ondes.com

    Il y a 13 ans

    / Presse

    Longueur D'ondes.com

    David Tétard« J’ai toujours rêvé d’être… »
    (MVS Records / Anticraft)

    Ceux qui se rappellent du groupe Tétard et de leurs trois albums ne seront pas dépaysés par l’album solo de David, ex-chanteur et leader de la formation. Sa voix est un poil plus éraillée et maniérée qu’avant, l’accompagnement est un peu plus rock (juste un peu), mais le fond et la forme n’ont pas changé. Réalisé avec Gaétan Roussel de Louise Attaque et Philippe Almosnino des Wampas, cette galette a une sonorité chanson-folk bien menée dans laquelle on se glisse comme dans un canapé moelleux. On retrouve la poésie à la Miossec et l’écriture habile du musicien. Il parle, encore, des histoires d’amour belles ou foireuses, des filles lui piétinent leur cœur avec leurs talons, des filles qui partent. L’unique titre en anglais et aux accents beatlesiens du disque, « I know », est une perle. Dommage que David n’ait pas profité de l’expérience solo pour prendre plus de risque et sauter, enfin, dans le grand bain. myspace.com/davidtetard

    Aena Léo
    Suite
    Thème : Musique
  • Froggy's Delight

    Il y a 13 ans

    / Presse

    Froggy's Delight

    David Tétard
    J'ai toujours rêvé d'être un groupe de rock  (MVS Records) février 2010

    Avant, David Tétard chantait dans un groupe : Tétard. Trois albums plus tard, il a retrouvé sa solitude en même temps que son prénom et s'offre un premier album comme chanteur, au titre aussi programmatique que paradoxal : J'ai toujours rêvé d'être un groupe de rock. Du rock, dans cet album, il n'y en a pas tant que ça. Plutôt des touches, par endroit, réminiscences d'une fantaisie nocturne – ces rêves tenaces qui s'attachent à vos pas jusque durant l'éveil. Alors il rêve, David, en électrisant un tout petit peu sa chanson, pour voir comment ça ferait. Il rêve d'être un groupe de rock et parsème son album d'une constellation de références. Il y a tout d'abord, bien entendu, Louise Attaque, l'indispensable grand frère dont on entend les couleurs (période A plus tard crocodile) de-ci de-là (l'exemple est flagrant avec les arrangements de "J'ose pas"). Il y a Matmatah, aussi, puisque c'est son bassiste, Eric Digaire, qui s'est occupé de la réalisation de l'album. Il y a Miossec, encore, dans le chant, non dans la voix, les fêlures de l'alcool en moins ; Miossec également dans les textes, la profondeur des malheureux en moins ("tu sais j'aime pas juste te baiser, j'aime bien aussi quand tu t'endors en me laissant juste au bord" avec "Tu sais bien" ; "nous n'aurons pas vraiment le temps – de nous décevoir" et "si je pars bien avant que tu ne me détestes, promets moi de ne pas retourner ta veste" avec "La beauté du geste"). Jusqu'à s'absorber "dans la contemplation de [ses] pieds", à la césure près, comme aurait pu le dire la Lolita de ce noir Bertrand. Malgré ces références et même certainement à cause d'elles, l'univers déployé est encore trop peu personnel, entaché d'une variété trop propre sur elle. Les textes restent souvent prisonniers d'une fascination un peu scolaire pour la logique des structures et des rimes. C'est ainsi que le texte de "On ne sait pas ce qu'on perd" semble tout entier commandé par l'idée de faire répondre au récurrent "on ne sait pas ce qu'on gagne", "montagne" au premier couplet, "pagne" au second, "bagne" au troisième... Tétard multiplie pourtant les tentatives : en anglais sur "I know" ; en duo avec Cécile Hercule (la nouvelle protégée de Mickaël "Mickey parfois 3D" Furlon), sur l'assez passable "L'amour passe" et "La beauté du geste", auquel son chant évaporé, façon Charlotte Gainsbourg espiègle, donne un peu de hauteur... J'ai toujours rêvé d'être un groupe de rock s'écoute avec légèreté et autant de plaisir que de distraction. On est bien loin de l'album magistral que les qualités d'écriture et la voix de son auteur, qui réussit le prodige d'être à la fois rauque, éraillée, étranglée et maniérée, peuvent laisser espérer. Malgré la concision de l'album (31'36, morceau caché inclus), David Tétard donne un peu l'impression de tâtonner, de chercher le truc qui marche – et au final ça ne marche pas tant que ça. La quête du single accrocheur reste vaine, alors même que, par le passé, Tétard avait prouvé avec "T'arracher un cheveu" qu'il pouvait se poser en songwriter puissant, efficace et original. À prendre un peu de distance, on aurait la même impression de malaise qu'à réécouter les très inégales productions de Daran – sauf que Daran, même à laisser de côté son très médiatique 8 barré, a eu le bon goût de nous écrire des titres ambitieux comme "Le petit peuple du bitume", "Léger", "Belle comme..." Rien de tel chez Tétard, rien de réellement abouti, en tout cas ; car il y aurait bien "L'écume des jours", si elle avait eu plus d'ampleur, "Cécile, si Tétard s'était autorisé à y saigner un peu. Dommage. Des promesses, des promesses, donc, mais que l'on ne tiendra pas vraiment. David Tétard a toujours rêvé d'être un groupe de rock. On attend déjà avec impatience qu'il devienne grenouille, pour songer à se faire gros comme un bœuf.

    Par Cédric Chort

    A lire aussi sur Froggy's Delight :David Tétard en concert à L'Européen (18 novembre 2004)
    David Tétard en concert à La Guinguette Pirate (13 décembre 2005)
    L'interview de David Tétard (juin 2004)
    Suite
    Thème : Musique