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Destiné au transport de marchandises, ces engins à trois roues fleurissent dans toutes les villes du Royaume. Depuis peu, le triporteur est même devenu un moyen de transport en commun.Thème : Photographie
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1 - vue du seuil d'entrée
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2 - plan rdj
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3 - plan étage
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Thème : Architecture -
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Thèmes : Dessin, Illustration
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J'avais appris à la suite d'une conversation entre deux mondaines dans un de ces dîners parisien ou parait-il, il faut être, que Greta Garbo était dans un palace en Suisse à Kloster.
Pour le coup j'avais pour une fois trouvé un intérêt à ma sortie et tout naturellement, le lendemain j'étais parti dans ma volkswagen à sa rencontre. Je me souviens que ma seule préoccupation était : vais-je la reconnaître? Avant de partir, j'étais allé regarder à la documentation de Match les dernières photos d'elle connues, on ne la voyait pas bien, elle marchait dans New York mais au moins j'avais une idée et sa silhouette.
Le soir arrivé, j'étais allé à son hôtel repérer, il y avait plusieurs sorties, je me souviens d'avoir alors demandé au portier qui avait un air sympathique si c'était vrai que Gréta Garbo séjournait ici. Il me répondit "oui bien sûr elle vient chaque année", "et que fait-elle de ses journées ?", "des grandes promenades avec son amie Cécile de Rothschild, d'ailleurs comme un rituel elles partent de l'hôtel à 15 heures et reviennent à 18 heures". Il avait méme ajouté : "elles sortent toujours par cette porte" étant seul cette information était pour moi capital.
Le lendemain à 14 heures je m'étais installé devant la sortie, comme me l'avait confié le portier à 15 heures je vis sortir deux femmes dont l'une pouvait effectivement être Garbo.
Je les ai laissées s'éloigner de l'hôtel une bonne demie heure sans même sortir un appareil de mon sac, j'avais trop peur d'étre repéré. Puis quand je considérais que même si elles me voyaient j'aurai le temps de faire des images, j'ai commencé à la photographier caché derrière les sapins qui bordaient le lac.
En fait je fis une dizaines de films, noir et blanc et couleurs, cela s'était passé au delà de mes espérances, je me souviens d'avoir fait cette derniére photo ou on la voit de dos sur le chemin du retour, puis je me suis dit tu n'auras rien de mieux, il était 18 heures... A minuit j'étais dans mon lit à Paris.Thème : Photographie -
Princesse Caroline de Monaco... Ce jour là je l'avais accompagnée dans un studio d'enregistrement près de la gare d'Austerlitz. Pour passer inaperçue, la princesse s'habillait de maniére inattendue... Ce lieu délabré plus le fait qu'elle porte ce foulard, évoque plus Causette qu'une princesse !Thème : Photographie
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1 - NO WAY / WAY OUT- expo
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2 - no way/way out
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3 - faire des pieds et des mains
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Quand il n'y a pas d'issue, il y a toujours une porte de sortie. Et si la porte de sortie était l'art ?
NO WAY / WAY OUT, un aperçu du monde de l'entreprise ;-)
- choisissez une étiquette et collez-la sur votre pull,
- exercez-vous à lever le pied ou à vous laisser porter,
- retenez bien la charte du planqué,
- faites face, qui aura le dernier mot ?
- avant de partir, merci pour le coup de pouce !
Collages et sérigraphies, Galerie des arts graphiques, Paris, 2011Thème : Graphisme -
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Ce que dégage l'œuvre étonnante d'Elvire Bonduelle tient en quelques mots : fraîcheur, apaisement et bonne humeur. Sa recherche permanente de bonheur nourrie en effet son travail. Utiliser l'art pour améliorer la vie, un leitmotiv proche des théories du Bauhaus, qu'elle soutient sans toutefois s'attarder sur la fonctionnalité réelle des pièces.
Un regard décalé, une petite histoire humoristique en filigrane et la voilà proposant un cube de mousse croqué par un géant invisible en guise de fauteuil, des ombrelles en couvertures de survie pour visiter la Lune et des chansons délirantes prônant de fuir les tragédies pour une existence plus légère.
"Serial happy finder" plutôt que "Serial killer", elle a traqué pendant trois mois dans le quotidien le Monde les articles positifs pour maquetter un numéro exceptionnel et euphorisant du journal. Plus tôt elle concevait déjà de grandes cales molles et douces pour aider l'homme moderne à rester debout malgré la dureté de la vie et les événements déstabilisants.
Des étais, des structures de bibliothèques, des dessins épurés figurant de multiples recherches architecturales (Les dessins à la règle), la notion de construction l'inspire visiblement... comme une béquille qui soutient, un abri qui protège, un vetement qui reflète une personnalité. Ses nombreux dessins naïfs, aux crayons de couleur et aux feutres, accumulent des façades imaginaires ornementées de mots symboliques, "loyauté", "vérité", etc. C'est que l'artiste déplore la standardisation des habitats et des gens et le fait que les individus, au lieu de s'affirmer, puisent dans une soupe commune, un style préfabriqué et forcément nivelant. Même l'art remarque-t-elle suit ce mouvement dans une spirale toujours plus normalisante et dépressive. Elvire Bonduelle, elle, a une personnalité et l'affirme. Elle préfère voir le meilleur et afficher son optimisme. S'assumer pleinement !
Bettie Nin, Slicker N°5, hiver 2013
Ce que dégage l'œuvre étonnante d'Elvire Bonduelle tient en quelques mots : fraîcheur, apaisement et bonne humeur. Sa recherche permanente de bonheur nourrie en effet son travail. Utiliser l'art pour améliorer la vie, un leitmotiv proche des théories du Bauhaus, qu'elle soutient sans toutefois s'attarder sur la fonctionnalité réelle des pièces.Un regard décalé, une petite histoire humoristique en filigrane et la voilà proposant un cube de mousse croqué par un géant invisible en guise de fauteuil, des ombrelles en couvertures de survie pour visiter la Lune et des chansons délirantes prônant de fuir les tragédies pour une existence plus légère.
"Serial happy finder" plutôt que "Serial killer", elle a traqué pendant trois mois dans le quotidien le Monde les articles positifs pour maquetter un numéro exceptionnel et euphorisant du journal. Plus tôt elle concevait déjà de grandes cales molles et douces pour aider l'homme moderne à rester debout malgré la dureté de la vie et les événements déstabilisants. Des étais, des structures de bibliothèques, des dessins épurés figurant de multiples recherches architecturales (Les dessins à la règle), la notion de construction l'inspire visiblement... comme une béquille qui soutient, un abri qui protège, un vetement qui reflète une personnalité. Ses nombreux dessins naïfs, aux crayons de couleur et aux feutres, accumulent des façades imaginaires ornementées de mots symboliques, "loyauté", "vérité", etc. C'est que l'artiste déplore la standardisation des habitats et des gens et le fait que les individus, au lieu de s'affirmer, puisent dans une soupe commune, un style préfabriqué et forcément nivelant. Même l'art remarque-t-elle suit ce mouvement dans une spirale toujours plus normalisante et dépressive. Elvire Bonduelle, elle, a une personnalité et l'affirme. Elle préfère voir le meilleur et afficher son optimisme. S'assumer pleinement !
Bettie Nin, Slicker N°5, hiver 2013Thème : Arts plastiques