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Cendrillon Bélanger

Cendrillon Bélanger

Artiste

www.cendrillonbelanger.net

Cendrillon Bélanger exprime le rapport des femmes à la féminité au travers de vidéos, installations et performances. Après des études aux beaux arts de Paris, elle expose au musée d’art moderne de la ville de Paris, au MAC de Lyon puis à l’international en Suisse, en Grande Bretagne, à Saint Pétersbourg etc…
  • DV, Pal, 4 min, couleur, son
    Réalisation, caméra et montage : Cendrillon Bélanger
    Musique : Nicky Skopelitis „Mustapha Loop“
    Avec : Betty Fraisse

    Thèmes : Arts plastiques, Vidéo
  • Hi8 Pal
    3min33, couleur, son
    Réalisation et montage : Cendrillon Bélanger
    Musique : Marlène Dietrich „Illusions“

    Thèmes : Arts plastiques, Vidéo
  • DV Pal
    3min33, couleur, son
    Réalisation et montage : Cendrillon Bélanger
    Musique : Alfredo Catalani, «La Walli »

    Thèmes : Arts plastiques, Vidéo
  • Installation vidéo (double projection sur escaliers de verre)
    DV Pal, 8min30 en boucle, couleur, son
    Réalisation, caméra, montage et son : C. Bélanger
    Avec : Betty Fraisse, Armance Brown et Bruno Krief

    Thèmes : Arts plastiques, Vidéo
  • Vigneux-sur-Seine (2004)

    Il y a 13 ans

    / Oeuvres / Vigneux-sur-Seine (Paris, 1978-2000) / présentation

    • 1 - table 1
      table 1
    • 2 - table 2
      table 2
    • 3 - table 3
      table 3
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    Une famille s’apprête à fêter Noël…

    Super 8 refilmé en DV Pal
    2 min 54 s, couleur, son
    Réalisation et montage : Cendrillon Bélanger
    Caméra 1978 : Patrice Séganti
    Musique : Nino Rota, “Otto e Mezzo”
    Suite
    Thème : Arts plastiques
  • Petite Histoire Divanesque

    Il y a 13 ans

    / Oeuvres / Petite Histoire Divanesque (North Hatley, 1997) / Présentation

    • 1 - divan-1
      divan-1
    • 2 - divan-2
      divan-2
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      divan-6
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    Dans “Petite Histoire Divanesque”, Cendrillon Bélanger décide de passer vingt-quatre heures non-stop sur un divan installé au beau milieu d'un champ, à North Hatley, au Québec.
    Entre ciel et terre, à l’écart de toute trace de civilisation, l’artiste investit un microterritoire pour y improviser une sorte de road movie immobile.

    À partir des photographies de cette performance, Cendrillon a réalisé une vidéo dans laquelle la musique orchestre un diaporama, rythmant la succession des prises de vues.

    Unité de lieu (le divan), unité de temps (de midi à midi le lendemain) et unité d’action (se jouer de la contrainte et résister à la tentation de prendre la clef des champs), soit les fondements mêmes de la tragédie classique, composent ici une saynète plutôt humoristique dont quelques éléments, comme les poses de l’artiste, la mélodie ou certains effets de montage, font des clins d’œil au cinéma hollywoodien.

    Diaporama
    Photos 24x36 numérisées
    3 min, couleur, son
    Réalisation et montage : Cendrillon Bélanger
    Musique : Henri René & his Orchestra, “Sleep Walk”
    Suite
    Thème : Arts plastiques
  • Biographie

    Cendrillon Bélanger est née à Montréal en février 1972, d’un père québécois et d’une mère française.
    En 1990, elle s’installe à Paris pour y suivre des études d’Histoire et d’histoire de l’art. En 1993, elle entre aux Beaux-Arts de Paris où elle fréquente les ateliers de Tony Brown et de Jean-Luc Vilmouth.
    Cendrillon vit et travaille à Paris.
    Suite
    Thème : Arts plastiques
    • 1 - natasha vania 1
      natasha vania 1
    • 2 - sequence 5
      sequence 5
    • 3 - sequence 4
      sequence 4
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    Ce projet a été développé avec le soutien de l’Institut Français de Saint-Pétersbourg et sous la curatelle du collectif Niepakhorionih.
    L'installation vidéo “Queen of Spades” a été présentée du 30 juin au 15 juillet 2009 au sein de l'ancienne usine textile Krasnoie Znamia, à Saint-Pétersbourg, dans le cadre de l'exposition "L'Espace du Silence”.


    Deux plaques de verre (225x142,5 cm) sont disposées l’une contre l’autre telles deux cartes à jouer pour construire un château (les dimensions des plaques sont proportionnelles à celle d’une carte à jouer). Les plaques sont volontairement très fines (5 mm) par rapport à leur taille, et leur fragilité s’ajoute à l’équilibre fragile de leur disposition.
    Ces deux surfaces de verre servent à la projection d’images vidéo filmées à Paris et à Saint-Pétersbourg.
    Les cartes à jouer font référence à la nouvelle d’Alexandre Pouchkine “La Dame de Pique”, une œuvre écrite à Saint-Pétersbourg en 1834. Ici, l’artiste a voulu que tous les personnages soient soumis à l’influence des cartes. Ils jouent, ils perdent, s’aiment ou se trahissent selon la distribution des cartes qui ordonne leur destinée.
    Outre la référence à Pouchkine, il est évidemment question de “distribution” des rôles en général, et donc aussi de celle qui s’établit dans tous nos rapports avec autrui, celle qui définit notre socialité.

    Les images vidéo qui sont projetées sur la structure de verre jouent autour de ces notions et les mettent en scène : des corps féminins et masculins se battent et se débattent de telle sorte que le spectateur craint sans cesse que le verre ne se brise.

    Les images ont été réalisées avec des danseurs français et russes.
    Le son a été composé à partir d’éléments enregistrés à Paris et à Saint-Pétersbourg.

    DV Pal
    10 min en boucle, couleur, son
    Réalisation et montage : Cendrillon Bélanger
    Son : Cendrillon Bélanger
    Avec : Mathilde Tobon et Nicolas Stilhart (Paris), Natalia Zemliakova et Ivan Pchelov (Saint-Pétersbourg).
    Suite
    Thème : Arts plastiques
  • Photomatons® (depuis 1995)

    Il y a 13 ans

    / Oeuvres / Présentation

    • 1 - assiette marie
      assiette marie
    • 2 - oeil rose
      oeil rose
    • 3 - paves dos
      paves dos
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    Depuis 1995, Cendrillon Bélanger se photographie dans un lieu clos, mais ouvert à tous. Elle investit cet espace tel un petit théâtre intime, tant avec son corps qu’avec différents accessoires : fleurs, miroirs, papiers colorés, tulle et objets divers lui appartenant.
    Cette demeure aux confins de l’espace privé et de l’espace public est une cabine de photos d’identité, un “non-lieu” limité aux trois minutes d’exposition imposée. Dans ce contexte, chaque photo décèle une frontière difficile à définir entre le portrait et l’identité.

    La planche de quatre photos est présentée telle quelle. Elle n’est jamais retouchée.

    En 1997, une sélection de ces photomatons, tirés au format 135x110 cm et marouflés sur aluminium, a été exposée au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris dans le cadre de l’exposition “Instants Donnés”.
    Suite
  • Love apart (Paris et Aachen, 2001)

    Il y a 13 ans

    / Oeuvres / Présentation

    • 1 - parav8.JPGpetit
      parav8.JPGpetit
    • 2 - parav4
      parav4
    • 3 - parav2
      parav2
    • + 1 media(s)
    Cette installation vidéo (double projection sur paravent de verre) a été présentée en décembre 2001 et janvier 2002 au Ludwig Forum, à Aachen, dans le cadre du “Programme à la Carte” proposé par l’AFAA.

    Entretien avec Brent Klinkum, curator (extrait du catalogue édité pour l’occasion)

    Brent Klinkum : Vous allez bientôt exposer une installation vidéo au Ludwig Forum, à Aix-la-Chapelle. Pourquoi avez-vous choisi comme surface de projection un paravent de verre, un objet qui divise l’espace entre public et privé ?
    Cendrillon Bélanger : Je travaille beaucoup sur le thème de l’amour, sur les histoires entre les hommes et les femmes. Le paravent me permet de les unir tout en les séparant. Je fais deux projections, l’espace de l’homme, et celui de la femme, chacun fragmenté en quatre mais filmé au même endroit en caméra fixe. Le couple se cherche, se croise, sans jamais se rencontrer vraiment. Le paravent évoque aussi l’intimité : on le retrouve souvent dans les chambres. Celui-ci est en verre pour que la surface soit transparente, car je souhaite que les spectateurs puissent se trouver d’un côté ou de l’autre, et que leurs ombres se projettent sur l’œuvre quand ils passent. D’autre part, “écran” en anglais se dit aussi “divider”, le diviseur. La structure de l’écran-paravent va porter toute la vidéo, mais le son est également très important.
    Brent Klinkum : Votre installation montre des couples dans une unité de lieu et un décalage du temps. Quel est l’intérêt de ce décalage et du ralenti ?
    Cendrillon Bélanger : Même si je filme des couples, l’idée était de montrer l’impossibilité de la rencontre. Grâce à ce paravent, les couples vont se rencontrer, alors que j’ai filmé chacun des protagonistes séparément. Ils vont se croiser grâce à la structure du paravent, mais sans jamais se retrouver tous les deux ensemble. Jamais ils ne vont pouvoir se toucher réellement. C’est l’image qui va créer l’illusion d’une rencontre. (...) À force de travailler avec des gens amoureux, je me suis rendu compte que c’était la chorégraphie qui m’intéressait (…). Dans “Isabelle et la Seine” par exemple, grâce au ralenti, pendant 14 minutes — soit 7 minutes filmées —, j’avais sous les yeux le ballet d’une femme amoureuse. Les gestes sont incroyablement chorégraphiés par le ralenti. Dans “Love Apart”, le visage des gens n’est pas très important. On peut le voir, mais les personnages sont filmés en pied et c’est plutôt leurs mouvements, leur façon de séduire l’autre en son absence qu’on remarque. (…)

    DV Pal
    10 min en boucle, couleur, son
    Réalisation, caméra et montage : Cendrillon Bélanger
    Son : Cendrillon Bélanger
    Avec : Karoline Schröder et Markus Daichentd, Lola Zeiser et Pjer Alievski (Aachen) ; Isabelle Nicou et Gilles D. Perez, Cendrillon Bélanger et Philippe Mihailovich (Paris)
    Suite
    Thème : Arts plastiques