TOUS LES ARTICLES

  • Lundi : vers Noël et au-delà

    Il y a 11 ans

    / Aujourd'hui

    Lundi : vers Noël et au-delà
    Thèmes : Dessin, Illustration
  • Née à Aix en Provence, Delphine Montebello est issue d'une famille d’artistes.
    Dès la fin de ses études à l'Académie Julian (ESAG), elle réalise les décors de La nuit avant le jour, un spectacle de Bob Wilson inaugurant l'ouverture de l'Opéra Bastille.
    Fascinée par la nature, peinture à l’huile et dessin deviennent des formes d’expression privilégiées que Delphine Montebello applique dans chaques domaines : Design , Architecture , Cinéma... Le mode d’expression hybride et coloré qu’elle développe intrigue tout aussi bien, Christian Lacroix, Agnès b qu'elle conseille, Stephane Plassier, Serge Gainsbourg, Pierre Passebond qui lui passent commandes et lui achètent des peintures.

    À 22 ans Delphine Montebello élabore des « histoires en volumes », crée installations et scénographies pour la Maison Porthault, ainsi que pour d'autres marques prestigieuses.
    À la demande de Paris Musée, elle conçoit une série limitée d'objets : une collection de 9 coquetiers, boites et petit mobilier en forme d'animaux ovipares.
    Crée des logotypes et affiches pour d’importantes compagnies de distribution de films, notamment pour le réalisateur de cinéma Patrick Grandperret ; écrit par la suite des scénarios de film et invente des concepts narratifs comme la « poésie chantée photographique sous condition ».
    Encouragée par Roland Topor Delphine Montebello réalise deux courts métrages d'une série de 7 intitulée : « Règlement de Contes Philosophique ». Film poétique muet à la frontière du comique, synthétisant sa relation au non-dit, à l'absence, où toutes pensées muettes font tant de bruit.
    Collabore avec Arthur H, toujours avec la même nécessité de recréer un espace, de sonder une matière.

    Expose dans différentes galeries en France et à l'Etranger. Ses peintures traitent de sujets énigmatiques, ironiques, absurdes et anachroniques ; entre abstraction et figuration.

    Soutenue par Arte, ses photos seront présentées à la Sérial Galery dans le courant de l'année 2014 ainsi que ses dessins à la galerie 1900 - 2000.

    CV - CONTACT / THIERRY VEBRE / 06 34 90 01 45
    Suite
  • Delphine Sales Montebello

    http://delphine.metaproject.net

    Site officiel de l'artiste Delphine Sales Montebello. Présentation de ses peintures, biographie, actualité.

  • Anne Claverie

    Anne Claverie

    Sculpteur, Plasticienne

    www.anneclaverie.com

    Les blbl

    Il y a 11 ans

    / Travaux

    Les "blbl" sont des sculptures-photos. Elles se plaquent au mur ou au sol.
    Chaque "blbl" est composée d'une série d'un même objet pris en photo et découpé.

    Thème : Arts plastiques
  • Marguerite Pilven

    Marguerite Pilven

    Critique d'Art, Commissaire d'exposition

    www.margueritepilven.net

    Emese Miskolczi, Présences

    Il y a 11 ans

    / Articles

    Emese Miskolczi, Présences
    Depuis plusieurs années, Emese Miskolczi construit une œuvre qui mixe la photographie et la vidéo. Chaque sujet qu’elle approche génère une méthode de travail en plusieurs étapes. L’artiste observe une situation qu’elle documente de manière exhaustive. Elle retranscrit ensuite cette documentation de façon intuitive et contemplative. Dans ses montages vidéo et ses photographies longues poses, le temps devient une matière qu’elle fractionne, étire, dissèque et manipule. Elle tente ainsi d’ouvrir de nouveaux horizons perceptifs sur une réalité que nous croyons connaître.

    Avec le soutien de l’Espace Photographique Arthur Batut, Emese Miskolczi a sollicité cent quarante huit habitants de Labruguière pour les filmer et réaliser des portraits de groupe à partir de leurs traits individuels. Commerçantes, rugbymen, aides soignantes, pêcheurs, hommes et femmes du club des aînés, élèves d’une classe Maternelle, adolescents du collège ont ainsi défilé devant sa caméra. L’artiste leur a chaque fois demandé de prononcer une phrase de présentation choisie pour l’ensemble du groupe en fixant des yeux l’objectif1. La série couvre un prisme d’activités qu’elle a souhaité la plus ample possible. Elle s’étend également aux âges de la vie : les modèles les plus jeunes ont quatre ans et les plus âgés sont à la retraite.

    Le portrait social n’est ici pas issu d’une juxtaposition de ses membres mais de la surimpression numérique de leurs images. Superposés, synchronisés dans leurs mouvements, ces portraits parlent, respirent et clignent des yeux comme une seule personne. Le visage qui émerge de leur télescopage est une image purement virtuelle. Elle est la formule visuelle condensée de tous ceux et celles qui lui ont donné leurs traits.

    Cent quarante huit portraits, juste assez pour approcher significativement  les différents visages de Labruguière, en pénétrer la substance, les traits communs. Mais si condensée soit-elle, cette formule reste vacillante. Montée en boucle, son apparition et ses métamorphoses évoluent à une vitesse que nos yeux peinent à suivre consciemment. La fixation longue de ces portraits dans les yeux fait apparaître une multiplicité d’images subliminales dans la friction de leur matière en mouvement. En invitant l’œil à se tenir aux aguets, Emese Miskolczi suggère que les effets de surface sont un leurre. Elle ne décide pas de l'apparence finale de ces images, mais construit le dispositif qui permet de les faire apparaître.

    Le montage en boucle est au temps ce que la superposition est à l’espace : une tentative d’extraire une vérité contenue dans les traces mémorielles de la matière, à force de répétition. Aucun des modèles ayant posé pour ces portraits ne se reconnaîtra en propre, car il n’est donné à personne de commander les expressions de son visage ni de les percevoir. C’est justement ce décalage entre un visage et l’image de ce visage qu’Emese Miskolczi explore par les voies du ressemblant. Les images qu’elle compose sont la manifestation troublante d’une part insaisissable de l’identité recherchée entre le singulier et le général, au carrefour de l’individuel et du collectif.

    L’émotion ressentie à la vue de ces corps vibrant à l’unisson tient sans doute à une forme de sublimation que l’on retrouve dans les chœurs dramatiques ou musicaux. La force de la parole (ou de l’image) commune est qu’elle fait entendre aussi bien son unité que sa dispersion ou sa diversité. Les portraits composites réalisés par Emese Miskolczi sont un équivalent visuel de la polyphonie : une combinaison de plusieurs voix indépendantes liées les unes aux autres par les lois de l’harmonie.

    Marguerite Pilven    

    Texte du catalogue d'exposition Présences, proposée à l'Espace Arthur Batut du 13 décembre 2013 au 14 février 2014.

    1 « Je donne des soins », pour les aides soignantes, « j’ai quatre ans »pour les élèves d’une classe de Maternelle, « je suis une des anciennes de Labruguière », pour les femmes du Club des Aînées…
    Suite
    Thème : Arts plastiques
  • 12fps

    12fps

    Vidéastes

    www.12fps.net

    Bakelite

    Il y a 11 ans

    / Home

    Thème : Vidéo
  • 12fps

    12fps

    Vidéastes

    www.12fps.net

    Dishes

    Il y a 11 ans

    / Home

    Thème : Vidéo
  • 12fps

    12fps

    Vidéastes

    www.12fps.net

    Porte d'Orleans

    Il y a 11 ans

    / Home

    Thème : Vidéo
  • 12fps

    12fps

    Vidéastes

    www.12fps.net

    Zes keer vijf

    Il y a 11 ans

    / Home

    Thème : Vidéo
  • 12fps

    12fps

    Vidéastes

    www.12fps.net

    Mangecrotte

    Il y a 11 ans

    / Home

    Thème : Vidéo