TOUS LES ARTICLES
-
-
1 - dessin bâtard1
-
2 - dessin bâtard 2
-
3 - dessin bâtard 3
- + 4 media(s)
Sortie du port-folio "Dessins bâtards" par Anne van der Linden et Placid - treize sérigraphies en deux couleurs au format A3 tiré à 130 exemplaires par Mathieu Desjardins des éditions MéconiumThèmes : Arts plastiques, Peinture -
-
Putain, ça fait trois fois que j'efface mon texte.
Oui, on est de plein pied dans ma réalité.
En gros j'essayais d'écrire un truc sur le fait que c'est dur d'écrire. Tu vois un peu la mise en abime?
Bref, c'est plus facile de penser écrire un truc sur son blog que de le faire.
Faut trouver un truc à dire et se trouver (intense soit peu ) intéressant.
Du coup, je me suis dis écris des chansons.
Du coup c'est ce que je fais!
Mais qu'est ce que je fais de ma chanson? Comme Renaud, je la mets dans ma culotte?
Mais moi j'aime partager et que l'on me flatte en me disant "elle est jolie ta chanson"!
Alors, si tu passe par là et que ça te dis envoie moi un mail à tetardavid@gmail.com et je t'envoie ma chanson.
Tu verra y a du xylophone, de la guitare acoustique et un peu de mon slip sale.
Pour le reste il fait chaud et mon coeur est triste car on est jeudi.Thème : Musique -
-
1 - Amour siamois 2013
-
2 - Pinces à linge 2013
-
3 - Leçon d'anatomie pour dames 2013
- + 6 media(s)
Mon livre "Carnage intime"vient de paraître aux éditions United dead Artists, 60 pages de peintures et dessins réalisés entre 2006 et 2014 - impression offset quadrichromie sur papier Rives, dos carré, 26 X 17 cm.Thèmes : Arts plastiques, Peinture -
-
-
1 - Grand-père 1 2013
-
2 - Grand-père 4 2013
-
3 - Grand-père 5
- + 8 media(s)
J'ai réalisé les illustrations du livre Grand pere ed eretic-art, edition de luxe du roman culte de Costes publié par Fayard en 2006, format 16cm x 24cm, 256 pages, tirage limité de 1000 exemplaires numérotés et signés, préface de Raphaël Sorin, design inspiré des livres d'aventures illustrés du 19eme siècle, 16 illustrations noir et blanc, une par chapitre, et une sérigraphie, frontispice dessiné à l'ancienne, et 16 lettrines, couverture cartonnée en Baladek Istrana, avec titres et dessin en dorure à chaud.
Sortie du livre le 15 mars pour la clôture de mon exposition à la galerie La belle époque, 17 bis chemin des Vieux Arbres, 59650 Villeneuve d'Ascq (Lille)
Thèmes : Arts plastiques, Peinture -
-
Exposition "Oser la photographie", Musée Réattu, Arles, 4 juillet 2015 - 3 janvier 2016
Il y a 9 ans
/ ACTUALITES
Sont présentées des photographies de la commande qui m'a été passée en 2003 par Michèle Moutashar, alors Conservatrice du Musée, et le CNAP. La série s'appelle " La Suite d'Arles", ce sont des Polaroids SX70 agrandis.Thème : Photographie -
A la question "Pourquoi photographiez-vous?", 38 photographes répondent de façons très diverses, très intenses, et ces réponses agrandissent le champ du regard de chacun.
Bernard Descamps et Réponses Photo se sont associés pour nous donner du grain à moudre.Thème : Photographie -
Si l'on considère l'ensemble de votre œuvre, ce qui frappe, outre votre prolificité sur tous types de supports, c'est que vos toiles ne perdent pas en force. Sont-ce toujours les mêmes questions qui vous animent depuis trente ans que vous peignez ?Anne Van der Linden : Quand je travaille je ne me pose pas de questions auxquelles l’image pourrait répondre, les formes et les idées se mettent en place à partir d’une impulsion, d’une poussée d’énergie, à moi d’être opportuniste par rapport à ça pour faire évoluer l’image. Du coup il faut que je soie effectivement en bonne forme pour travailler, sans force pas de création, et ça c’est une constante. D’ailleurs je ne sais pas ce que ça donnera au fil du temps, si en continuant à vieillir j’arriverai encore à travailler.Une autre constante est que les images ont toujours eu un rendu très dense, très lourd, elles sont excessives, elles sautent à la gueule. C’est mon truc, je suis structurée ainsi. Pourquoi avoir fait le choix de rester en région parisienne pour travailler ? N'auriez-vous pas plus de tranquillité et d'espace pour peindre dans un endroit plus reculé ?Ce n'est pas un choix mais une facilité, j'ai un logement gratuit ici. Aussi c'est plus facile en étant près de la ville de montrer et vendre mon travail, je connais les réseaux, comment trouver facilement quelques sous. Les gens hésitent déjà à venir jusqu’en banlieue voir mon boulot, les faire venir à la campagne me paraît impossible, même si l’idée est plaisante. De toutes façons je crois que je pourrais travailler n'importe où, peu importe l'endroit, mon atelier est nulle part. Vous avez une sensibilité littéraire toute particulière, songiez-vous à devenir écrivaine quand vous étiez jeune ? Quand et comment les moyens d'expression picturaux ont-ils pris le dessus sur la langue ?Non je n'ai jamais pensé à devenir écrivaine, même si j’avais des facilités par ma formation. Les mots sont des codes communs très forts, trouver une formulation originale m’a toujours paru bien plus difficile qu'avec l’expression picturale. La fabrication d’images est venue assez tard, petit à petit. Je n’avais pas de talent particulier pour ça, j’avais juste l’envie de le faire, comme si je visitais des territoires vierges.Finalement le côté littéraire a été intégré dans l'image qui est devenue au fil du temps hyper narrative, blindée d'histoires. Qu'aimiez-vous dessiner quand vous étiez enfant et adolescente ?Enfant je dessinais des dessins d’enfant, rien de particulier, des voitures des maisons des églises.A l’adolescence j’ai fait des collages, des broderies, des sexes féminins qui ressemblaient à des algues, des bouches, des organes, ça commençait à être chaud ! Et puis je me suis mise à dessiner sur des coins de table des dessins très lâchés, un peu dans l’esprit des dessins automatiques surréalistes, un mélange de tracés aléatoires et de bouts de figures, humaine et animales, c’était très varié, selon mon humeur. Vous évoquez souvent vos difficultés à vous intégrer en société ; avez-vous toujours été de nature plutôt marginale ?A vrai dire je ne me souviens pas, je crois que non, je n’ai jamais été marginale de nature, les gens m’attirent au contraire, j’aime observer leurs comportements, j’essayer de comprendre leur principe, mais je préfère les mater à distance ! Peut-être qu’à un moment ça s’est mal passé et comme je m’occupe très bien toute seule, j’ai continué à faire comme ça pour avoir la paix.Il se trouve aussi que je n’ai pas suivi la voie de la socialisation, je n’ai pas de vie de famille, d’enfants, pas de boulot salarié… et la création est un truc de solitaire, c’est un statut idéal pour passer du temps seul sans avoir de comptes à rendre. Racontez-nous votre passage succinct par les Beaux-Arts. Y avez-vous appris quelque chose ?J’y ai donc appris que je ne pouvais pas travailler avec du monde autour de moi. Et aussi que les étudiants mâles étaient des gros machos. Et enfin que mes dessins perso étaient mal vus par les « autorités locales », considérés comme des petites fantasmes à écarter. Pourquoi avoir tout de même décidé de faire des études d'arts plastiques après cette expérience ? Éprouviez-vous malgré tout un besoin de reconnaissance institutionnelle ?Je faisais pas mal de petits boulots (gardes d’enfants, travail en imprimerie, vendeuse) et je me suis dit que je pourrais peut-être gagner ma vie plus facilement avec un diplôme. Là encore j’ai laissé tomber (finalement j’ai toujours tout laissé tomber sauf la peinture) et bien m’en a pris car je supporte mal le bruit des classes, et je me serais sans doute retrouvée prof d’arts plastiques en banlieue, arrrgh !! Vous avez un style très reconnaissable et relativement inchangé depuis au moins 10 ans. Quel chemin avez-vous parcouru jusqu'à en arriver là ? Avez-vous, à un moment, remis en question la représentation figurative ?Je suis passée par une période abstraite, je voulais trouver une expression pure, mais ça a foiré, je me suis embourbée dans la matière, d’ailleurs j’ai tout jeté, c’était vraiment le chaos, et les figures sont venues remettre de l’ordre et des directions dans mon travail. Depuis je n’ai pas fait autre chose effectivement. Vous avez partagé pendant une dizaine d'années la vie de Costes. Cette cohabitation a-t-elle influencé votre art ?J’ai fait une revue avec lui dans les années 80, La vache bigarrée, ma première expérience d’édition en ronéo, textes et images, qui a été l’occasion d’une ouverture sur l’underground, la création alternative. Ensuite j’ai joué et fait des décors dans ses spectacles, alors oui c’est une influence, une fréquentation artistique de très longue date. Avez-vous des rituels, des habitudes avant de commencer à travailler ?Rien de spécial vraiment, je change de fringues, je prépare la peinture, j’allume parfois la radio et j’y vais. Vos toiles et dessins regorgent de corps désarticulés, mutilés, écorchés. Quel rapport entretenez-vous avec votre propre corps ?Le corps doit être sous contrôle permanent, on peut fermer sa bouche sur ses pensées, mais le corps lui, difficile de le brider et pourtant c’est ce qui est demandé en permanence, avec la souffrance qui en découle. Je parle de ça je crois.Ceci dit je ne pratique pas l’auto-mutilation ni la torture. Je fais même du footing!. Mais pour visiter les mondes intérieurs, un bon moyen est d’y aller au couteau et à la hache. La nudité est chose normale dans votre œuvre, les excréments un artéfact parmi d'autres ; avez-vous des tabous ? Vous êtes-vous jamais interdit de représenter des choses ?La nudité et la merde sont notre quotidien, et je n’ai aucune sensation de transgression en parlant de ça, il suffit de déconstruire les codes sociaux, et tout devient bien plus simple, plus gai. Quant au tabou ultime, il m’est arrivé d’être mal à l’aise avec une de mes représentations en cours, et finalement ça donnait une bonne toile ! Parce que l’enjeu n’est pas dans les idées avancées mais dans ce jeu de matière couleur pensées qui font de la toile un organisme avec ses propres règles. Qu'est-ce que la vulgarité, pour vous ?Ce qui est éloigné de la nécessité. Vous êtes très active dans le milieu de la micro-édition, vous éditez d'ailleurs votre propre revue, Freak Wave ; avez-vous découvert récemment des artistes qui vous parlaient tout particulièrement ?J’ai créé Freak Wave avec l’artiste Olivier Allemane, on a donné de l’espace à des expressions qui nous paraissaient non consensuelles, non policées, avec un goût particulier pour la peinture parce que nous sommes peintres tous les 2 et que c’est un médium qui a été ringardisé par le discours dominant, donc d’autant plus intéressant à remettre en scène. Je pourrais vous citer des tas d’artistes, de tous les coins du monde, de Greg Jacobsen à Joan Cornella, Sue Coe, Antoine Rigal, Chantal Montellier, la liste est longue des artistes dont le travail m’émeut, par la forme et par l’esprit.Thèmes : Arts plastiques, Peinture
-
Oulala...
Mon dernier post date de plus de quatre ans.
Il me fallait une raison pour poster un truc et je n'en ai toujours pas trouvé.
Alors je viendrais me perdre ici le plus souvent possible et ce pour aucune raison.
J'ai bien un facebook et un instagram mais il me semble plus judicieux de raconter mes morceaux de vie ici.
Je re-commencerais donc ma mise à nu par ce petit morceau que je dépose délicatement sur mon blog. Il ne s'agit que d'une maquette maison réalisée par mes soins.
http://www.podsnack.com/5556AEBA9F7/a1jlvsf8
A bientôt ici ou là...Thème : Musique -
Réalisation d'une sculpture in-situ (Juin, Juillet, Août 2015) pour exposition permanente.
LE CHATEAU DES PÈRES. 35150 - Piré sur Seiche. http://www.chateaudesperes.frThème : Arts plastiques