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  • Anne Van Der Linden

    Anne Van Der Linden

    Artiste peintre et dessinatrice

    www.annevanderlinden.net

    Anne Van der Linden

    Il y a 15 ans

    / Biographie

    Anne Van der Linden
    Anne Van der Linden, née en 1959 en Angleterre, vit et travaille à Saint-Denis. Peintre et dessinatrice, elle expose ses oeuvres depuis les années 1990 en France et à l'étranger. Son travail est largement publié dans l’édition alternative.
    Elle est également illustratrice pour la presse et pour des éditions de littérature.

    Anne van der Linden, born 1959, is a french painter and drawer who lives in Saint-Denis, suburb of Paris. Beeing of a litterary education, she came early to drawing expression, then to oil
    painting. After an abstract period, she developed her figurative style from the 9O's. Her art is in the filiation of german expressionnism, middle-age engravings, cartoonists as Robert Crumb and many more. Her attachment to litterature brought her naturally to illustration activity, for edition project as well as for newspapers.
    Searching to express through visual arts the tensed interaction between inner wild life and social normalisation could be her main concern.
    Her work has been widely exhibited and published in France and in foreign countries.

    Expositions personnelles récentes


    2011 galerie Le Monte en l'air - Paris
    2011 galerie Les Singuliers - Paris
    2010 galerie Une poussière dans l'oeil - Lille
    2009 Le bal des ardents - Lyon
    2009 Librairie Publico - Paris
    2007 Le Dernier Cri - Marseille
    2006 galerie Les Singuliers - Paris
    2003 galerie Les Singuliers - Paris
    2002 La musardine - Lyon
    2002 galerie Deon-Mayer - Paris
    2002 galerie A l’enseigne des Oudin - Paris
    2000 musée de l’érotisme - Paris
    2000 galerie Un regard moderne - Paris
    1999 galerie Art’s factory - Paris

    Expositions collectives récentes


    2012 Outsider art fair - New York
    2011 exposition "La part du diable" Le Comptoir - Liège
    2011 exposition "Hey" La Halle Saint Pierre - Paris
    2010 exposition "Pièces canines" La place forte - Paris
    2010 foire d'art contemporain Cutlog exposition "Freak wave" - Paris
    2010 exposition "Zapataedo" musée du Montparnasse - Paris
    2010 exposition "Voyous, voyants, voyeurs, autour de Clovis Trouille" musée de l'Ardenne - Charleville-Mézières
    2010 exposition " Hopital brut - Le dernier cri" galerie Deborah Zafman - Paris
    2009-2010 exposition "Voyous, voyants, voyeurs, autour de Clovis Trouille"
    musée d'art et d'histoire Louis Senlecq - L'Isle Adam
    2009 foire d'art contemporain Cutlog - Paris
    2009 galerie Yves Suty - Coye-la-Forêt
    2009 galerie Une poussière dans l'oeil - Lille
    2009 Musée du montparnasse exposition "Violentes femmes" - Paris
    2008 galerie Les Singuliers - Paris
    2007 Espace Beaurepaire - Paris
    2006 Arts factory - galerie Eof - Paris
    2005 Arts factory - Paris
    2005 La Halle Saint-Pierre - Paris
    2005 galerie Les Singuliers - exposition “Violentes femmes” - Paris
    2005 Château de Tours exposition “Violentes femmes” - Tours
    2004 galerie Jean Attali - Paris
    2002 musée de l’érotisme - Paris
    2000 galerie Richard Treger - Paris
    1999 musée d’art et d’histoire - Saint-Denis
    1998 institut néerlandais - Paris
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  • Longueur D'ondes.com

    Il y a 15 ans

    / Presse

    Longueur D'ondes.com

    David Tétard« J’ai toujours rêvé d’être… »
    (MVS Records / Anticraft)

    Ceux qui se rappellent du groupe Tétard et de leurs trois albums ne seront pas dépaysés par l’album solo de David, ex-chanteur et leader de la formation. Sa voix est un poil plus éraillée et maniérée qu’avant, l’accompagnement est un peu plus rock (juste un peu), mais le fond et la forme n’ont pas changé. Réalisé avec Gaétan Roussel de Louise Attaque et Philippe Almosnino des Wampas, cette galette a une sonorité chanson-folk bien menée dans laquelle on se glisse comme dans un canapé moelleux. On retrouve la poésie à la Miossec et l’écriture habile du musicien. Il parle, encore, des histoires d’amour belles ou foireuses, des filles lui piétinent leur cœur avec leurs talons, des filles qui partent. L’unique titre en anglais et aux accents beatlesiens du disque, « I know », est une perle. Dommage que David n’ait pas profité de l’expérience solo pour prendre plus de risque et sauter, enfin, dans le grand bain. myspace.com/davidtetard

    Aena Léo
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    Thème : Musique
  • Froggy's Delight

    Il y a 15 ans

    / Presse

    Froggy's Delight

    David Tétard
    J'ai toujours rêvé d'être un groupe de rock  (MVS Records) février 2010

    Avant, David Tétard chantait dans un groupe : Tétard. Trois albums plus tard, il a retrouvé sa solitude en même temps que son prénom et s'offre un premier album comme chanteur, au titre aussi programmatique que paradoxal : J'ai toujours rêvé d'être un groupe de rock. Du rock, dans cet album, il n'y en a pas tant que ça. Plutôt des touches, par endroit, réminiscences d'une fantaisie nocturne – ces rêves tenaces qui s'attachent à vos pas jusque durant l'éveil. Alors il rêve, David, en électrisant un tout petit peu sa chanson, pour voir comment ça ferait. Il rêve d'être un groupe de rock et parsème son album d'une constellation de références. Il y a tout d'abord, bien entendu, Louise Attaque, l'indispensable grand frère dont on entend les couleurs (période A plus tard crocodile) de-ci de-là (l'exemple est flagrant avec les arrangements de "J'ose pas"). Il y a Matmatah, aussi, puisque c'est son bassiste, Eric Digaire, qui s'est occupé de la réalisation de l'album. Il y a Miossec, encore, dans le chant, non dans la voix, les fêlures de l'alcool en moins ; Miossec également dans les textes, la profondeur des malheureux en moins ("tu sais j'aime pas juste te baiser, j'aime bien aussi quand tu t'endors en me laissant juste au bord" avec "Tu sais bien" ; "nous n'aurons pas vraiment le temps – de nous décevoir" et "si je pars bien avant que tu ne me détestes, promets moi de ne pas retourner ta veste" avec "La beauté du geste"). Jusqu'à s'absorber "dans la contemplation de [ses] pieds", à la césure près, comme aurait pu le dire la Lolita de ce noir Bertrand. Malgré ces références et même certainement à cause d'elles, l'univers déployé est encore trop peu personnel, entaché d'une variété trop propre sur elle. Les textes restent souvent prisonniers d'une fascination un peu scolaire pour la logique des structures et des rimes. C'est ainsi que le texte de "On ne sait pas ce qu'on perd" semble tout entier commandé par l'idée de faire répondre au récurrent "on ne sait pas ce qu'on gagne", "montagne" au premier couplet, "pagne" au second, "bagne" au troisième... Tétard multiplie pourtant les tentatives : en anglais sur "I know" ; en duo avec Cécile Hercule (la nouvelle protégée de Mickaël "Mickey parfois 3D" Furlon), sur l'assez passable "L'amour passe" et "La beauté du geste", auquel son chant évaporé, façon Charlotte Gainsbourg espiègle, donne un peu de hauteur... J'ai toujours rêvé d'être un groupe de rock s'écoute avec légèreté et autant de plaisir que de distraction. On est bien loin de l'album magistral que les qualités d'écriture et la voix de son auteur, qui réussit le prodige d'être à la fois rauque, éraillée, étranglée et maniérée, peuvent laisser espérer. Malgré la concision de l'album (31'36, morceau caché inclus), David Tétard donne un peu l'impression de tâtonner, de chercher le truc qui marche – et au final ça ne marche pas tant que ça. La quête du single accrocheur reste vaine, alors même que, par le passé, Tétard avait prouvé avec "T'arracher un cheveu" qu'il pouvait se poser en songwriter puissant, efficace et original. À prendre un peu de distance, on aurait la même impression de malaise qu'à réécouter les très inégales productions de Daran – sauf que Daran, même à laisser de côté son très médiatique 8 barré, a eu le bon goût de nous écrire des titres ambitieux comme "Le petit peuple du bitume", "Léger", "Belle comme..." Rien de tel chez Tétard, rien de réellement abouti, en tout cas ; car il y aurait bien "L'écume des jours", si elle avait eu plus d'ampleur, "Cécile, si Tétard s'était autorisé à y saigner un peu. Dommage. Des promesses, des promesses, donc, mais que l'on ne tiendra pas vraiment. David Tétard a toujours rêvé d'être un groupe de rock. On attend déjà avec impatience qu'il devienne grenouille, pour songer à se faire gros comme un bœuf.

    Par Cédric Chort

    A lire aussi sur Froggy's Delight :David Tétard en concert à L'Européen (18 novembre 2004)
    David Tétard en concert à La Guinguette Pirate (13 décembre 2005)
    L'interview de David Tétard (juin 2004)
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    Thème : Musique
  • Marjolaine Sirieix

    Marjolaine Sirieix

    Artiste, graphiste, illustratrice

    www.marjolainesirieix.net

    Femme magazine

    Il y a 15 ans

    / Publication

    Femme magazine
    Thème : Illustration
  • NG

    Il y a 15 ans

    NG

    http://www.ngchiwai.com

    Travaux graphiques de Chi Wai NG

    Thème : Graphisme
  • Radio Néo

    Il y a 15 ans

    / Presse

    Radio Néo

    Tétard, ce n’est certainement pas la rubrique animalière de radio néo, c’est David Tétard qui sillonne nos ondes depuis quelques temps déjà. Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le découvrir en 2002 de son première album modestement intitulé 12 pure chansons. Il y avait pourtant déjà fait de belles rencontres en collaborant avec Phillipe Almosnino guitariste des Wampas et Thierry Los des Végomatique. Si vous n’avez pas non plus écouté son second opus, Mes dix doigts, sorti en 2005, sur lequel figurent Robin Feix, le bassiste de louise Attaque et le batteur de vegomatic. Et que vous n’avez toujours pas été interpéllé par Faudrat faire avec, sorti en 2007, qui aura été l’occasion d’ajouter Gaétan Roussel de Louise Attaque dans ses collaborations prestigieuses. Alors la sortie de J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock est l’occasion pour vous de rattraper votre triste retard. Pourtant, comme son nom ne l’indique pas, david Tetard travaille en solo cette fois ci. Le mot d’ordre de Tétard pour ce nouvel opus est « les mots et les mélodies ». Et ces écrits semblent lui obéir à merveille. Au fil de ces onze titre, il nous raconte les petites choses qui nous font rever dans la vie ordinaire. Mais l’amour reste un sujet incontournable dans ces textes. Et la jolie voie mélodieuse de Cécile Hercule que l’on retrouve deux fois sur l’album n’enlève donc rien au romantisme de l’album de David Tétard. L’influence de la scène rock française ne se retrouve pas que dans ces fréquentations. La musique de Tétard a le dinamisme et la poésie de Tarmac et de … Aucune date de concert n’est encore annoncée pour le moment. Mais toutes les informations dont vous avez besoin et même plus, vous attendent sur le www.jaitoujoursrevedetreungroupederock.fr ou, plus simple mais moins fourni, le www.myspace.com/davidtetard. En attendant on écoute le titre de cette nouveauté du jour : Cécile, chanson mélancolique sortie du dernier album de David Tétard, j’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock. Bonne écoute sur radio néo !   Céline
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    Thème : Musique
  • 13 Février 2010

    Il y a 15 ans

    / Concerts

    13 Février 2010


    La Scène Jean-Roger Caussimon

    Tremblay en France (93)
    David Tétard + Melissmell
    Suite
    Thème : Musique
  • Accueil

    Il y a 15 ans

    Site en maintenance ...
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  • Benoît Musereau

    http://www.benoitmusereau.com

    Réalisations graphiques de Benoît Musereau

    • 1 - talonnettes à genoux
      talonnettes à genoux
    • 2 - genou-nej
      genou-nej
    • 3 - grands-genoux-aurore
      grands-genoux-aurore
    • + 16 media(s)
    Thème : Dessin