Ecrit par Fred Delforge
J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock
(MVS Records – Anticraft – 2009)
Durée 31’36 – 11 Titres
http://www.jaitoujoursrevedetreungroupederock.fr
http://www.myspace.com/davidtetard
Après trois albums publiés sous le nom de groupe Tétard en compagnie de pointures comme Phil Almosnino des Wampas ou de Gaétan Roussel de Louise Attaque, David s’offre enfin un prénom et nous présente son nouvel effort en solo, un ouvrage dans lequel il avoue ses rêves égocentriques les plus fous et qu’il sort enfin sous son patronyme intégral, David Tétard ! Enfant de la scène et du rock, l’artiste a donné une centaine de concerts dont une trentaine en ouverture de Louise Attaque et de Matmatah et en est ressorti plus fort, plus inspiré encore, et c’est naturellement en compagnie d’Eric Digaire, bassiste du combo brestois, qu’il a enregistré ce nouvel album qui tire toute sa force des mélodies et des mots. Recueil de poésies empreint de rock, d’humour, de sentiments forts et de petites histoires parfois toutes simples, « J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock » s’efforce en toute humilité de remettre les pendules à l’heure ! Quoi de plus déstabilisant de la part d’un artiste que de ponctuer un album solo de deux duos ? Pas grand chose en fait, et c’est une fois encore en avançant dans sa propre direction et avec ses propres règles que David Tétard se distingue, usant de l’autodérision comme d’une arme absolue et mettant une grande partie de lui-même dans des chansons qui s’ouvrent en grand vers les autres, des chansons décalées comme « J’ose pas » ou « Je pense à toi », des chansons astucieuses comme « On sait ce qu’on perd » ou « Tu sais bien » et même des chansons pour faire pleurer les filles comme « Cécile » ou « L’écume des jours ». On se laissera enchanter par la voix entre chanson, pop et rock de David mais aussi par celle de Cécile Hercule qui le rejoint à deux reprises pour offrir des touches subtilement acidulées à « L’amour passe » et à « La beauté du geste », deux petits plus qui finissent de faire de « J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock » un album à la fraîcheur communicative qui viendra mettre une touche fleurie à la fin de l’hiver lors de sa sortie en février prochain et qui aidera à n’en point douter les primevères à transpercer les dernières petites couches de neige dans nos campagnes … Un album épatant à ne manquer sous aucun prétexte !
J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock
(MVS Records – Anticraft – 2009)
Durée 31’36 – 11 Titres
http://www.jaitoujoursrevedetreungroupederock.fr
http://www.myspace.com/davidtetard
Après trois albums publiés sous le nom de groupe Tétard en compagnie de pointures comme Phil Almosnino des Wampas ou de Gaétan Roussel de Louise Attaque, David s’offre enfin un prénom et nous présente son nouvel effort en solo, un ouvrage dans lequel il avoue ses rêves égocentriques les plus fous et qu’il sort enfin sous son patronyme intégral, David Tétard ! Enfant de la scène et du rock, l’artiste a donné une centaine de concerts dont une trentaine en ouverture de Louise Attaque et de Matmatah et en est ressorti plus fort, plus inspiré encore, et c’est naturellement en compagnie d’Eric Digaire, bassiste du combo brestois, qu’il a enregistré ce nouvel album qui tire toute sa force des mélodies et des mots. Recueil de poésies empreint de rock, d’humour, de sentiments forts et de petites histoires parfois toutes simples, « J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock » s’efforce en toute humilité de remettre les pendules à l’heure ! Quoi de plus déstabilisant de la part d’un artiste que de ponctuer un album solo de deux duos ? Pas grand chose en fait, et c’est une fois encore en avançant dans sa propre direction et avec ses propres règles que David Tétard se distingue, usant de l’autodérision comme d’une arme absolue et mettant une grande partie de lui-même dans des chansons qui s’ouvrent en grand vers les autres, des chansons décalées comme « J’ose pas » ou « Je pense à toi », des chansons astucieuses comme « On sait ce qu’on perd » ou « Tu sais bien » et même des chansons pour faire pleurer les filles comme « Cécile » ou « L’écume des jours ». On se laissera enchanter par la voix entre chanson, pop et rock de David mais aussi par celle de Cécile Hercule qui le rejoint à deux reprises pour offrir des touches subtilement acidulées à « L’amour passe » et à « La beauté du geste », deux petits plus qui finissent de faire de « J’ai toujours rêvé d’être un groupe de rock » un album à la fraîcheur communicative qui viendra mettre une touche fleurie à la fin de l’hiver lors de sa sortie en février prochain et qui aidera à n’en point douter les primevères à transpercer les dernières petites couches de neige dans nos campagnes … Un album épatant à ne manquer sous aucun prétexte !
