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  • Microbe et Gasoil (2016)

    Il y a 8 ans

    / Musique / Films

    Microbe et Gasoil (2016)
    MICROBE ET GASOIL
    Également inclus :
    AUX ABOIS • LA FRONTIÈRE DE L'AUBE • SAUVAGE INNOCENCE • LES AMANTS RÉGULIERS
    Bandes Originales des Films
    Musiques composées par Jean-Claude Vannier
    Pour la première fois en CD.
    Plus d'1 heure de musique inédite.
    Livret de 8 pages, notes internes français-anglais par Nicolas Magenham.
    Édition Collector Limitée.
    Ref : MBR-093
    Date de sortie : 13 juin 2016
    Réalisation
    Michel Gondry

    Musique
    Jean-Claude Vannier

    Sortie du CD
    13 juin 2016

    Également inclus : AUX ABOIS, LA FRONTIÈRE DE L'AUBE, SAUVAGE INNOCENCE, LES AMANTS RÉGULIERS
    Pour la première fois en CD. Plus d'1 heure de musique inédite.
    Livret de 8 pages, notes internes français-anglais par Nicolas Magenham.
    Édition Collector Limitée.
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  • Anne Claverie

    Anne Claverie

    Sculpteur, Plasticienne

    www.anneclaverie.com

    "LA QUESTION DE LA SCULPTURE AUJOURD'HUI ET DE SON RENOUVEAU."
    Directeur de la FRAC région PACA à Marseille, Pascal Neveux sera l'orateur de cette conférence.

    Samedi 9 Juillet 2016 de 17h à 18h.  Fondation Villa Datris.

    Exposition du 6 mai au 1er Novembre 2016. Isle sur la Sorgue (84800).

    http://www.villadatris.com
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    Thème : Arts plastiques
  • Release Party ! ACT III - 2000 What The Fuck - THTH au Sans Souci - PARIS

    Production poétique sonore indépendante. ACT III - 2000 What The Fuck est D.I.Y - fabriquée à la main et avec les moyens de production lambda, sans aucune subventions, ni aides - à part celle émanant de la CAF (sujet d'un morceau, le premier) - ni dossiers, ni relations mondaines, ni tampon à part celui de l'auteur. Elle est 1 % numérique et 99 % arty-stique. Machine célibataire, usine orpheline, elle fait partie d'une poésie sonore pop délivrée du territoire de la poésie institutionnelle qui s'est sclérosée pour que quelques ténors gardent leurs parts de marché sur la performance. Kamikaze, cette production gatecrash le musée Grévin de la chanson française sans aucun désir de « réussite » et en ressort aussi SEC pour se ressourcer in utero dans la vie et ses extensions. ACT III - 2000 What The Fuck est  là, présent, sur-vivant - sur, à travers -  les réseaux de la création anonyme.

    Jeudi 7 juillet « 2000 WTF »
    22 h jusqu'à la fermeture.
    SANS SOUCI 
    65, rue Jean-Baptiste Pigalle
    75009 Paris

    Event FB
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  • Taroudant

    Il y a 8 ans

    / Clients

    • 1 - Taroudant©BaptisteDVA-15
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      Taroudant©BaptisteDVA-13
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    Thème : Photographie
  • Marguerite Pilven

    Marguerite Pilven

    Critique d'Art, Commissaire d'exposition

    www.margueritepilven.net

    Jessica Lajard Soft Spot

    Il y a 8 ans

    / Articles

    Jessica Lajard Soft Spot
    Not only… but also

    Je ne connais rien de l’île de la Barbade où Jessica Lajard a passé son enfance et dont elle affirme l’influence décisive sur les formes qu’elle modèle. À vrai dire, et puisqu’elle-même joue si bien sur les mots pour en préfigurer l’apparence hybride, on ne saurait leur imaginer meilleure matrice que cette « île barbue », ainsi qualifiée par un explorateur portugais, saisit devant l’apparence pileuse de ses arbres banians aux racines pendantes. Les œuvres de Jessica Lajard procèdent de collages similaires. Mêlant le fait d’observation à la libre interprétation d’objets de son environnement, elle tente des liaisons inédites entre des formes, ou des éléments de langage.
    Dernièrement, elle a associé les mots anglophones « pet » et « penis ». De cette greffe improbable est sorti le modelage d'un joli toutou à gueule de gland, au poil impeccable et généreux, d’une blancheur séminale. Lové sur lui-même, il semble en attente d’une caresse pour s’étirer coquettement sous les doigts qui fouilleront sa pelisse.  Ce pénis-canin-câlin donne le ton d'un ensemble sculpté intitulé Somewhere where the grass is greener.  Dans le cadre cosy d’un foyer rassurant, plantes, accessoires de jardins et animaux de compagnie se livrent à d’étranges métamorphoses. Ils semblent mus par une volonté de séduire, livrés aux stratégies du mimétisme et de la parade.
    En convoquant le kitsch ou la négation de l'authentique, Jessica Lajard sort d'emblée des questions du beau et du laid. Elle introduit une connotation projective d'affect, de plaisir, de promotion sociale dont ces objets deviennent les expressions tangibles.

    Le dur et le mou

    Lors d’une conversation parue en 1966 dans le magazine Art Forum, Claes Oldenburg, l’artiste pop américain, initiateur de sculptures pâtissières monumentales et molles, disait vouloir « transporter l’œil dans les doigts ». On trouve beaucoup de doigts chez Jessica Lajard. Utilisés comme des figures métonymiques, souvent hypertrophiés, ils évoquent une réalité de la matière et du toucher indissociable de la pratique de la céramique et du plaisir sensuel qu'elle apporte. À travers ce motif, Lajard revisite également la colonne (ou la torsade), dont les évolutions et la valeur paradigmatique ont fait l'histoire de la sculpture et de l’architecture. Sur cette partition qu’elle connaît bien, Lajard explore ce que l'érection ou l'affaissement d’un objet peut lui ajouter de vital, d’organique ou de grotesque. Dans une installation présentée au salon de Montrouge, en 2014, Love birds, deux doigts d'une hauteur d'un mètre quatre-vingt sont les protagonistes d'une romance tropicale. Ils s'enlacent tendrement, comme un couple d'amoureux. Leur balancement évoque celui des palmiers s'inclinant pour rechercher la lumière, stimulés par leurs hormones. En sculpture, le passage de la verticale à l'horizontale marque aussi tout l'art de l'informe moderne.
    Avec un sens certain de l’ellipse, Hangover évoque une débandade : il est un décor passé à la moulinette, vomi sur le squelette d’un transat. De façon plus métaphysique, Where is the icosahedron? adresse une curieuse question au visiteur placé devant onze variations d’un modèle de construction en bois, structurellement proche de l’œuf au plat, et dont le jaune a pris la forme d’un solide géométrique. Cette absurde interprétation de l’informe semble parodier les jeux de construction éducatifs « liant formes de la nature (ou de la vie), formes de connaissance (géométrie, mathématiques et sciences) et formes esthétiques (art) » .

    L’origine du monde

    La contrainte physique et technique de manipulation de la matière appelle une pensée de la forme et de ses possibles dérivations fictionnelles. Lajard me disait d'ailleurs ressentir l'effet d'un dialogue entretenu avec une matière qui, si elle se plie à ses doigts, peut également lui résister ou réagir d'une façon imprévisible qui en infléchira le récit final. Lorsqu'elle pratique le moulage, l'histoire est autre. La logique du négatif et du positif qui en sous-tend le processus introduit chez elle un humour basé sur ce qu'une interprétation la plus simple possible d'un objet pourrait donner. Elle entre dans analyse modulaire de la forme plus réfléchie, tout en restant ludique, comme lorsque l'on joue à un jeu avec des règles bien définies. En résidence à Limoges, ville mondialement connue pour sa porcelaine blanche, Lajard a réalisé une série de modules cylindriques décomposant le corps humain en deux unités complémentaires : la tête et le tronc. Leur minimalisme, leur similitude et leur principe d’emboîtement appellent l’imaginaire à étudier tout l’éventail de combinaisons possibles entre ces modules. Lajard y a tenté l’approche la plus simple du corps humain, la tête et le tronc formant des modules quasi identiques. On est en pleine réduction à des formulations géométriques et démultiplication infinie en série, dans l'esprit de l'art minimal. Ce parti-pris se conjugue avec les origines industrielles de la porcelaine et sa blancheur. Eye candy, le titre de l'œuvre, synthétise efficacement ce raccourci de l'œil et du toucher qu'elle suggère. Les parties amovibles, des pointes de chantilly, obstruent les organes faciaux des robots et coiffent d'un gland crémeux le cylindre planté sur les modules-tronc.  
    Ce « compagnonnage du ludique et du lubrique  » me fait penser au Marquis de Sade, non pas celui de l'image que l'on s'en fait sans le connaître, mais bien cet homme qui souhaitait avant tout « redonner du corps à la pensée  », « montrer la face lumineuse du désir  ».
    Un appétit  de conquête et d’appropriation du banal traverse l’œuvre de Jessica Lajard. En s’affranchissant des limitations de la culture, de l’esthétique et du goût, elle atteint ces émanations d'une énergie à l'œuvre que sont la vitalité et l'humour.

    Texte écrit dans le cadre du dispositif d'aide à la production de textes du Centre d'art contemporain La Traverse
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    Thème : Arts plastiques
  • Vidéo -REQUIEM DE VERDI- CONCERT

    Il y a 8 ans

    / Chef d'orchestre

    Thème : Musique
  • Verdi Requiem répétition

    Il y a 8 ans

    / Vidéos

    Thème : Musique
  • DVORAK

    Il y a 8 ans

    / Chef d'orchestre

    Thème : Musique
  • Anne Van Der Linden

    Anne Van Der Linden

    Artiste peintre et dessinatrice

    www.annevanderlinden.net

    "Summer camp" exposition à la galerie 18 bis

    Il y a 8 ans

    / Actualités

    • 1 - Quel ingrat 2013
      Quel ingrat 2013
    • 2 - "Les petites guerrières" 2015
    • 3 - Fouette cocher! 2016
      Fouette cocher! 2016
    • + 2 media(s)
    Du 7 juillet au 9 septembre 2016, je participe à l'exposition collective "Summer camp, cabinet de curiosités d'artistes en villégiature" sur une invitation de Tristam, à la galerie 18bis, 18 bis boulevard Voltaire 75011 Paris.  J'y montrerai les 3 toiles ci-jointes.
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  • HAHA

    Il y a 8 ans

    / Actualités

    HAHA
    Samedi 25 juin 2016
    Soirée unique, exposition de 18h à 23h
    Projections à 19h30, 20h30 et 21h30

    Mathilde Cameirao
    Pauline Fouché
    Julien Gauthier
    Catherine Pachowski

    HAHA* propose un point de vue sur l'idée de nature à partir de photographies, vidéos, pièce sonore et objets naturels. Autant d'expérimentations en cours à partir de paysages d'ici ou d'ailleurs qui, à un moment donné, nous ont entouré-e-s et nous ont amené-e-s, au delà d'une approche réaliste ou naturaliste, à une transfiguration du réel. A travers la contemplation du bout du monde (les îles Kerguelen) ou de la nature avoisinante (le jardin anglais de La Roche-Guyon), HAHA se veut une réflexion sur le jardin ordonné, la nature vierge et foisonnante et un improbable entre-deux, territoire retourné à l'état sauvage. Entre l'aspect parfois familier ou l'étrangeté du règne animal, végétal et minéral, une immersion dans le paysage - et l'être humain parmi tout ça ?

    *HAHA, subst. masc. [ɑ ɑ]
    a) Dispositif de limite conçu par les architectes-paysagistes du XVIII°s pour se substituer à la clôture fermée des jardins anglais. Cette bordure invisible se manifeste par un dénivelé du terrain pour libérer délicieusement le regard sur l’horizon. b) 1738 « ouverture faite au mur d'un jardin avec un fossé au dehors afin de laisser la vue libre » (Piron, Métrom., I, 1 ds Littré)

    Atelier Chaîne
    16 rue Émile Chaîne
    75018 Paris
    M°Marcadet-poissonniers
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    Thème : Arts plastiques