Familles de détenus inarcérés à la prison de Rennes/2006 Le parloir sauvage « Je viens trois fois par semaine au parloir. Mais je supporte pas de ne pas voir mon mari. Parfois je passe des heures à le guetter sur le trottoir derrière la prison. S'il accroche sa serviette aux barreaux de la cellule, ça veut dire qu'il est là, qu'il me voit. Je peux lui hurler que je l'aime et lui envoyer des baisers. C'est interdit, si les gardiens me voient, ils préviennent la police. J'ai déjà été arrêtée, mais je m'en moque. Je veux juste le voir. » Marie Christine

A côté

Il y a 16 ans

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