Elvire Bonduelle

Elvire Bonduelle

Artiste

www.elvirebonduelle.com

Elvire Bonduelle est diplômée de l'Ecole des Beaux-arts de Paris en 2005. Elle vit à Paris et elle travaille et expose en France et à l'étranger. Elvire Bonduelle revendique le joli, l’esthétique sans abandonner le propos et le concept qu’elle transmet toujours avec une pointe d’humour et d’ironie. Elle propose, dans ses œuvres, une autre vision du monde en décalant son point de vue, comme dans « Le Meilleur Monde » un vrai-faux numéro du quotidien Le Monde à l'identique, constitué uniquement de bonnes nouvelles .

CP Salle d'attente Immanence

Il y a 11 ans

/ Presse / Elvire Bonduelle - Salle d'attente

Les conditions dans lesquelles on voit les œuvres sont lamentables. Les expositions sont très fréquentées, et parfois par des imbéciles. On ne peut que rester debout et regarder, en général avec quelqu'un d'autre. Il n'y a pas d'espace, pas d'intimité, nulle part où s'asseoir ou se coucher, on ne peut ni boire, ni manger, ni penser, ni vivre. Ce n'est qu'une présentation. Ce n'est que de l'information.
Écrits 1963-1990, Donald Judd, Édition Daniel Lelong, 1991.

Voilà quelques années que je m'intéresse aux salles d'attentes comme parenthèses spatio-temporelles propices à la contemplation. Patientant chez mon dentiste, confortablement assise en face d'une toile, je la considérais au premier abord comme une « croûte ». L'attente s'éternisant, je contemplais la toile, au début très passivement mais petit à petit un certain dialogue s'instaura, et elle finit par beaucoup me plaire. Le temps et ma disponibilité d'esprit avaient permis cette expérience esthétique inattendue.
Une seconde expérience m'amena à vouloir désirer voir les œuvres d'art dans de meilleures conditions, lors d’un voyage pour visiter l'exposition d'un peintre adoré dont je n'avais jamais vu le travail qu'en reproduction. Arrivée au musée, la foule, le bruit, le manque de recul et d'assises m'empêchèrent de voir les œuvres. Très déçue, je me consolais alors en dévorant le catalogue, confortablement installée dans mon train de retour.
Ainsi est né le projet SALLE D'ATTENTE, l'envie de proposer de meilleures conditions pour voir les œuvres et renouveler la qualité de nos expériences sensibles et esthétiques.
Chez NEW Immanence, dont l'atmosphère est déjà toute indiquée avec ses poignées en laiton, ses rideaux à lames verticales et son paillasson encastré, un ensemble d'œuvres sont mises en relation pour un accrochage « en salle d'attente ».
Les peintures de Camila Oliveira Fairclough se réfèrent à des codes visuels reconnaissables, mettant en tension le visible et le lisible au delà de l'apparente immédiateté de leur approche.
"Césium", miroir hypnotique de Baptiste Debombourg, reflète une image parcellaire et éclatée de l'espace qui s'en trouve comme « psychédélisé ».
L'horloge souriante « 10h10 » de Bertrand Planes défie les esprits trop rationnels et pressés tout comme l'étonnante plante verte de Julien Berthier dont l'apparence prête à confusion.
"WOOD IS GOOD", retable iconoclaste d'Elvire Bonduelle, brouille les frontières disciplinaires et semble inviter à s'asseoir dessus.
Sur la table basse, quelques nouvelles défraichies de cette dernière et la revue "LOG", entièrement consacrée au travail de Sammy Engramer, achèvent de filer la métaphore de la salle d'attente.
Les conditions dans lesquelles on voit les œuvres sont lamentables. Les expositions sont très fréquentées, et parfois par des imbéciles. On ne peut que rester debout et regarder, en général avec quelqu'un d'autre. Il n'y a pas d'espace, pas d'intimité, nulle part où s'asseoir ou se coucher, on ne peut ni boire, ni manger, ni penser, ni vivre. Ce n'est qu'une présentation. Ce n'est que de l'information.
Écrits 1963-1990, Donald Judd, 1991, Édition Daniel Lelong.
La pratique d'Elvire Bonduelle se concentre sur la quête du bonheur, vaste thème qu'elle explore depuis ses débuts. Sans support à priori, elle navigue le plus souvent entre objets, dessins et vidéos. Elle a réalisé récemment Le meilleur Monde, un numéro spécial du quotidien Le Monde, fait uniquement de bonnes nouvelles récoltées dans le journal qu’elle a soigneusement passé en revue pendant un peu plus de trois mois.
« Voilà quelques années que je m'intéresse aux salles d'attentes comme parenthèses spatio-temporelles propices à la contemplation. Patientant chez mon dentiste, confortablement assise en face d'une toile, je la considérais au premier abord comme une « croûte ». L'attente s'éternisant, je contemplais la toile, au début très passivement mais petit à petit un certain dialogue s'instaura, et elle finit par beaucoup me plaire. Le temps et ma disponibilité d'esprit avaient permis cette expérience esthétique inattendue.
Une seconde expérience m'amena à vouloir désirer voir les œuvres d'art dans de meilleures conditions, lors d’un voyage pour visiter l'exposition d'un peintre adoré dont je n'avais jamais vu le travail qu'en reproduction. Arrivée au musée, la foule, le bruit, le manque de recul et d'assises m'empêchèrent de voir les œuvres. Très déçue, je me consolais alors en dévorant le catalogue, confortablement installée dans mon train de retour. »
Ainsi est né le projet SALLE D'ATTENTE, l'envie de proposer de meilleures conditions pour voir les œuvres et renouveler la qualité de nos expériences sensibles et esthétiques.
Chez NEW Immanence, dont l'atmosphère est déjà toute indiquée avec ses poignées en laiton, ses rideaux à lames verticales et son paillasson encastré, un ensemble d'œuvres sont mises en relation pour un accrochage « en salle d'attente ».
Les peintures de Camila Oliveira Fairclough se réfèrent à des codes visuels reconnaissables, mettant en tension le visible et le lisible au delà de l'apparente immédiateté de leur approche.
Césium, miroir hypnotique de Baptiste Debombourg, reflète une image parcellaire et éclatée de l'espace qui s'en trouve comme « psychédélisé ».
L'horloge souriante « 10h10 » de Bertrand Planes défie les esprits trop rationnels et pressés tout comme l'étonnante plante verte de Julien Berthier dont l'apparence prête à confusion.
WOOD IS GOOD, retable iconoclaste d'Elvire Bonduelle, brouille les frontières disciplinaires et semble inviter à s'asseoir dessus.
Sur la table basse, quelques nouvelles défraichies de cette dernière et la revue LOG, entièrement consacrée au travail de Sammy Engramer, achèvent de filer la métaphore de la salle d'attente.
conditions dans lesquelles on voit les œuvres sont lamentables. Les expositions sont très fréquentées, et parfois par des imbéciles. On ne peut que rester debout et regarder, en général avec quelqu'un d'autre. Il n'y a pas d'espace, pas d'intimité, nulle part où s'asseoir ou se coucher, on ne peut ni boire, ni manger, ni penser, ni vivre. Ce n'est qu'une présentation. Ce n'est que de l'information.
Écrits 1963-1990, Donald Judd, 1991, Édition Daniel Lelong.
La pratique d'Elvire Bonduelle se concentre sur la quête du bonheur, vaste thème qu'elle explore depuis ses débuts. Sans support à priori, elle navigue le plus souvent entre objets, dessins et vidéos. Elle a réalisé récemment Le meilleur Monde, un numéro spécial du quotidien Le Monde, fait uniquement de bonnes nouvelles récoltées dans le journal qu’elle a soigneusement passé en revue pendant un peu plus de trois mois.
« Voilà quelques années que je m'intéresse aux salles d'attentes comme parenthèses spatio-temporelles propices à la contemplation. Patientant chez mon dentiste, confortablement assise en face d'une toile, je la considérais au premier abord comme une « croûte ». L'attente s'éternisant, je contemplais la toile, au début très passivement mais petit à petit un certain dialogue s'instaura, et elle finit par beaucoup me plaire. Le temps et ma disponibilité d'esprit avaient permis cette expérience esthétique inattendue.
Une seconde expérience m'amena à vouloir désirer voir les œuvres d'art dans de meilleures conditions, lors d’un voyage pour visiter l'exposition d'un peintre adoré dont je n'avais jamais vu le travail qu'en reproduction. Arrivée au musée, la foule, le bruit, le manque de recul et d'assises m'empêchèrent de voir les œuvres. Très déçue, je me consolais alors en dévorant le catalogue, confortablement installée dans mon train de retour. »
Ainsi est né le projet SALLE D'ATTENTE, l'envie de proposer de meilleures conditions pour voir les œuvres et renouveler la qualité de nos expériences sensibles et esthétiques.
Chez NEW Immanence, dont l'atmosphère est déjà toute indiquée avec ses poignées en laiton, ses rideaux à lames verticales et son paillasson encastré, un ensemble d'œuvres sont mises en relation pour un accrochage « en salle d'attente ».
Les peintures de Camila Oliveira Fairclough se réfèrent à des codes visuels reconnaissables, mettant en tension le visible et le lisible au delà de l'apparente immédiateté de leur approche.
Césium, miroir hypnotique de Baptiste Debombourg, reflète une image parcellaire et éclatée de l'espace qui s'en trouve comme « psychédélisé ».
L'horloge souriante « 10h10 » de Bertrand Planes défie les esprits trop rationnels et pressés tout comme l'étonnante plante verte de Julien Berthier dont l'apparence prête à confusion.
WOOD IS GOOD, retable iconoclaste d'Elvire Bonduelle, brouille les frontières disciplinaires et semble inviter à s'asseoir dessus.
Sur la table basse, quelques nouvelles défraichies de cette dernière et la revue LOG, entièrement consacrée au travail de Sammy Engramer, achèvent de filer la métaphore de la salle d'attente.
Les conditions dans lesquelles on voit les œuvres sont lamentables. Les expositions sont très fréquentées, et parfois par des imbéciles. On ne peut que rester debout et regarder, en général avec quelqu'un d'autre. Il n'y a pas d'espace, pas d'intimité, nulle part où s'asseoir ou se coucher, on ne peut ni boire, ni manger, ni penser, ni vivre. Ce n'est qu'une présentation. Ce n'est que de l'information.
Écrits 1963-1990, Donald Judd, 1991, Édition Daniel Lelong.
La pratique d'Elvire Bonduelle se concentre sur la quête du bonheur, vaste thème qu'elle explore depuis ses débuts. Sans support à priori, elle navigue le plus souvent entre objets, dessins et vidéos. Elle a réalisé récemment Le meilleur Monde, un numéro spécial du quotidien Le Monde, fait uniquement de bonnes nouvelles récoltées dans le journal qu’elle a soigneusement passé en revue pendant un peu plus de trois mois.
« Voilà quelques années que je m'intéresse aux salles d'attentes comme parenthèses spatio-temporelles propices à la contemplation. Patientant chez mon dentiste, confortablement assise en face d'une toile, je la considérais au premier abord comme une « croûte ». L'attente s'éternisant, je contemplais la toile, au début très passivement mais petit à petit un certain dialogue s'instaura, et elle finit par beaucoup me plaire. Le temps et ma disponibilité d'esprit avaient permis cette expérience esthétique inattendue.
Une seconde expérience m'amena à vouloir désirer voir les œuvres d'art dans de meilleures conditions, lors d’un voyage pour visiter l'exposition d'un peintre adoré dont je n'avais jamais vu le travail qu'en reproduction. Arrivée au musée, la foule, le bruit, le manque de recul et d'assises m'empêchèrent de voir les œuvres. Très déçue, je me consolais alors en dévorant le catalogue, confortablement installée dans mon train de retour. »
Ainsi est né le projet SALLE D'ATTENTE, l'envie de proposer de meilleures conditions pour voir les œuvres et renouveler la qualité de nos expériences sensibles et esthétiques.
Chez NEW Immanence, dont l'atmosphère est déjà toute indiquée avec ses poignées en laiton, ses rideaux à lames verticales et son paillasson encastré, un ensemble d'œuvres sont mises en relation pour un accrochage « en salle d'attente ».
Les peintures de Camila Oliveira Fairclough se réfèrent à des codes visuels reconnaissables, mettant en tension le visible et le lisible au delà de l'apparente immédiateté de leur approche.
Césium, miroir hypnotique de Baptiste Debombourg, reflète une image parcellaire et éclatée de l'espace qui s'en trouve comme « psychédélisé ».
L'horloge souriante « 10h10 » de Bertrand Planes défie les esprits trop rationnels et pressés tout comme l'étonnante plante verte de Julien Berthier dont l'apparence prête à confusion.
WOOD IS GOOD, retable iconoclaste d'Elvire Bonduelle, brouille les frontières disciplinaires et semble inviter à s'asseoir dessus.
Sur la table basse, quelques nouvelles défraichies de cette dernière et la revue LOG, entièrement consacrée au travail de Sammy Engramer, achèvent de filer la métaphore de la salle d'attente.Les conditions dans lesquelles on voit les œuvres sont lamentables. Les expositions sont très fréquentées, et parfois par des imbéciles. On ne peut que rester debout et regarder, en général avec quelqu'un d'autre. Il n'y a pas d'espace, pas d'intimité, nulle part où s'asseoir ou se coucher, on ne peut ni boire, ni manger, ni penser, ni vivre. Ce n'est qu'une présentation. Ce n'est que de l'information.
Écrits 1963-1990, Donald Judd, 1991, Édition Daniel Lelong.
La pratique d'Elvire Bonduelle se concentre sur la quête du bonheur, vaste thème qu'elle explore depuis ses débuts. Sans support à priori, elle navigue le plus souvent entre objets, dessins et vidéos. Elle a réalisé récemment Le meilleur Monde, un numéro spécial du quotidien Le Monde, fait uniquement de bonnes nouvelles récoltées dans le journal qu’elle a soigneusement passé en revue pendant un peu plus de trois mois.
« Voilà quelques années que je m'intéresse aux salles d'attentes comme parenthèses spatio-temporelles propices à la contemplation. Patientant chez mon dentiste, confortablement assise en face d'une toile, je la considérais au premier abord comme une « croûte ». L'attente s'éternisant, je contemplais la toile, au début très passivement mais petit à petit un certain dialogue s'instaura, et elle finit par beaucoup me plaire. Le temps et ma disponibilité d'esprit avaient permis cette expérience esthétique inattendue.
Une seconde expérience m'amena à vouloir désirer voir les œuvres d'art dans de meilleures conditions, lors d’un voyage pour visiter l'exposition d'un peintre adoré dont je n'avais jamais vu le travail qu'en reproduction. Arrivée au musée, la foule, le bruit, le manque de recul et d'assises m'empêchèrent de voir les œuvres. Très déçue, je me consolais alors en dévorant le catalogue, confortablement installée dans mon train de retour. »
Ainsi est né le projet SALLE D'ATTENTE, l'envie de proposer de meilleures conditions pour voir les œuvres et renouveler la qualité de nos expériences sensibles et esthétiques.
Chez NEW Immanence, dont l'atmosphère est déjà toute indiquée avec ses poignées en laiton, ses rideaux à lames verticales et son paillasson encastré, un ensemble d'œuvres sont mises en relation pour un accrochage « en salle d'attente ».
Les peintures de Camila Oliveira Fairclough se réfèrent à des codes visuels reconnaissables, mettant en tension le visible et le lisible au delà de l'apparente immédiateté de leur approche.
Césium, miroir hypnotique de Baptiste Debombourg, reflète une image parcellaire et éclatée de l'espace qui s'en trouve comme « psychédélisé ».
L'horloge souriante « 10h10 » de Bertrand Planes défie les esprits trop rationnels et pressés tout comme l'étonnante plante verte de Julien Berthier dont l'apparence prête à confusion.
WOOD IS GOOD, retable iconoclaste d'Elvire Bonduelle, brouille les frontières disciplinaires et semble inviter à s'asseoir dessus.
Sur la table basse, quelques nouvelles défraichies de cette dernière et la revue LOG, entièrement consacrée au travail de Sammy Engramer, achèvent de filer la métaphore de la salle d'attente.
dans lesquelles on voit les œuvres sont lamentables. Les expositions sont très fréquentées, et parfois par des imbéciles. On ne peut que rester debout et regarder, en général avec quelqu'un d'autre. Il n'y a pas d'espace, pas d'intimité, nulle part où s'asseoir ou se coucher, on ne peut ni boire, ni manger, ni penser, ni vivre. Ce n'est qu'une présentation. Ce n'est que de l'information.
Écrits 1963-1990, Donald Judd, 1991, Édition Daniel Lelong.
La pratique d'Elvire Bonduelle se concentre sur la quête du bonheur, vaste thème qu'elle explore depuis ses débuts. Sans support à priori, elle navigue le plus souvent entre objets, dessins et vidéos. Elle a réalisé récemment Le meilleur Monde, un numéro spécial du quotidien Le Monde, fait uniquement de bonnes nouvelles récoltées dans le journal qu’elle a soigneusement passé en revue pendant un peu plus de trois mois.
« Voilà quelques années que je m'intéresse aux salles d'attentes comme parenthèses spatio-temporelles propices à la contemplation. Patientant chez mon dentiste, confortablement assise en face d'une toile, je la considérais au premier abord comme une « croûte ». L'attente s'éternisant, je contemplais la toile, au début très passivement mais petit à petit un certain dialogue s'instaura, et elle finit par beaucoup me plaire. Le temps et ma disponibilité d'esprit avaient permis cette expérience esthétique inattendue.
Une seconde expérience m'amena à vouloir désirer voir les œuvres d'art dans de meilleures conditions, lors d’un voyage pour visiter l'exposition d'un peintre adoré dont je n'avais jamais vu le travail qu'en reproduction. Arrivée au musée, la foule, le bruit, le manque de recul et d'assises m'empêchèrent de voir les œuvres. Très déçue, je me consolais alors en dévorant le catalogue, confortablement installée dans mon train de retour. »
Ainsi est né le projet SALLE D'ATTENTE, l'envie de proposer de meilleures conditions pour voir les œuvres et renouveler la qualité de nos expériences sensibles et esthétiques.
Chez NEW Immanence, dont l'atmosphère est déjà toute indiquée avec ses poignées en laiton, ses rideaux à lames verticales et son paillasson encastré, un ensemble d'œuvres sont mises en relation pour un accrochage « en salle d'attente ».
Les peintures de Camila Oliveira Fairclough se réfèrent à des codes visuels reconnaissables, mettant en tension le visible et le lisible au delà de l'apparente immédiateté de leur approche.
Césium, miroir hypnotique de Baptiste Debombourg, reflète une image parcellaire et éclatée de l'espace qui s'en trouve comme « psychédélisé ».
L'horloge souriante « 10h10 » de Bertrand Planes défie les esprits trop rationnels et pressés tout comme l'étonnante plante verte de Julien Berthier dont l'apparence prête à confusion.
WOOD IS GOOD, retable iconoclaste d'Elvire Bonduelle, brouille les frontières disciplinaires et semble inviter à s'asseoir dessus.
Sur la table basse, quelques nouvelles défraichies de cette dernière et la revue LOG, entièrement consacrée au travail de Sammy Engramer, achèvent de filer la métaphore de la salle d'attente.
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Thème : Arts plastiques
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