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Anne Van Der Linden

Anne Van Der Linden

Artiste peintre et dessinatrice

www.annevanderlinden.net

Anne Van der Linden est née en 1959 en Angleterre. Elle vit et travaille à Saint Denis. Peintre et dessinatrice, elle expose ses oeuvres depuis les années 1990 en France et à l'étranger. Son travail est largement publié dans l’édition alternative.
Elle est également illustratrice pour la presse et pour des éditions de littérature.
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    Avec les photos de Zazoum Tcherev + Christophe Siebert et Nina Zivancevic pour la soirée de lectures et performances
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  • Anne Van Der Linden

    Anne Van Der Linden

    Artiste peintre et dessinatrice

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    2 nouvelles sérigraphies aux éditions Méconium

    Il y a 8 ans

    / Actualités

    • 1 - Séri diable 1
      Séri diable  1
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      Séri diable 2
    2 sérigraphies éditées par Mathieu Desjardin éditions Méconium Bordeaux 4 couleurs format 50 x 35 cm tirage limité à 50 exemplaires
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    TIRAGE NUMEROTE - "Économie domestique, petit Carnet de 32 pages est composé de quatre thèmes « domestiques » qui se déclinent chacun en une série de sept dessins. Anne Van Der Linden, princesse de l'underground,  peintre, dessinatrice et illustratrice de presse, est cofondatrice de la revue Freak Wave. Sa peinture et son oeuvre graphique décrit l'érotisme du point de vue des femmes. Son oeuvre d'un surréalisme délirant décrit un univers fantastique, cauchemardesque, irréel et souvent ignoble qui rappelle les tableaux de Jérôme Bosch et l'oeuvre de Sade."
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  • Anne Van Der Linden, Économie domestique & Carnage intime par Jean-Paul Gavard-Perret

    Il faut au besoin battre leur croupe de caresses bien douces pour divers types de pactes et de paque­tages. De telles abbesses du démon rendent le quo­ti­dien étrange. Leur pré­sence est aussi dif­fi­cile à nier qu’à affir­mer. Avant de nous pré­sen­ter le miroir dans lequel nous nous ima­gi­ne­rions, Anne van Der Lin­den nous accorde à leur pure contem­pla­tion. Par les traits des des­sins, les femmes s’enchaînent aussi déliées que liées. Dans l’escarpement du val­lon existe tou­jours un minus­cule filet de lave en fusion. Tout s’embrase d’un coït de la vie dans la jubi­la­tion du par­fait accord forcé. Étour­dis­se­ment de déme­sure, trombes de dou­ceur à outrance, dérive dans l’anse cam­brée de dunes, tout y est. Eros devient effluve d’un souffle qui dépasse les capa­ci­tés pul­mo­naires. La poé­sie visuelle enjambe l’univers presque au-delà de l’imagination la plus ver­ti­gi­neuse.
    A l’exaspération du plai­sir de l’homme fait place celle de sa com­pagne. L’artiste reven­dique, pour elle comme pour toutes les autres femmes, un autre droit que celle de « pou­pée qui parle ». Est-ce là trop deman­der à son par­te­naire ? De  celui qui fut chair sen­sible et flam­boyante, por­tée par l’infini du désir et qui sem­blait pen­ser qu’après il n’y a plus rien ni per­sonne, Anne Van der Lin­den change la mise. Et si un homme lui assure que sa lubri­cité cause sa perte, elle répond par des « vora­trices » qui jettent aux paters noceurs leur « sus aux lous­tics ! ». Elle ne se sent cou­pable ni devant les esprits ni devant les hommes. Dans leur intime « ite », les cer­ti­tudes bas­culent en co-peaux de volupté. jean-paul gavard-perret lelittéraire.com
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  • Anne Van Der Linden

    Anne Van Der Linden

    Artiste peintre et dessinatrice

    www.annevanderlinden.net

    Un article dans la revue en ligne lelittéraire.com
    La revue en ligne lelittéraire.com me consacre un joli article, et annonce également la sortie (imminente) de mon livre "Economie domestique" chez Alain Beaulet editions
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  • Anne Van Der Linden

    Anne Van Der Linden

    Artiste peintre et dessinatrice

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    Instabilité hormonale

    Il y a 9 ans

    / Actualités

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    Instabilité hormonale
    "Instabilité hormonale" ed "La belle époque" 2014,  20 pages, 15x11cm, 120 exemplaires numérotés et signés dont 20 exemplaires enrichis d'une sérigraphie originale signée et numérotée de l'artiste. L'histoire brève d'une crise de nerfs.
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  • A Saint-Denis, l’endroit est calme, épargné grâce au canal de l’agitation de la ville, les arbres fruitiers poussent devant la fenêtre, Anne van der Linden ouvre la porte de son atelier dont s’échappe un chat. Sous les toits, les œuvres s’empilent et révèlent une palette émotionnelle violente, qui fourmille de corps, et exprime de la plus sereine jouissance à la brutalité la plus crue, dans l’excès des pulsions qui sèment ici l’angoisse, ici l’horreur, ici le bonheur. Une vulve s’ouvre dans les plis d’un homme enturbanné. Une Pietà recoud son homme sur le canapé du salon à la lueur d’un abat-jour. Les siamois hermaphrodites fusionnent les corps dans l’amour, les squelettes et la mort s’en mêlent et lèchent une femme consentante. Deux vieilles ceinturées de dynamite menacent de tout faire sauter. Le sexe d’un homme s’enroule autour du buste d’une femme, en symétrie, les membres de l’un et de l’autre recréent la svastika. On se retourne sur le petit brin de femme qui nous accueille avec douceur,  dont la sensibilité et la générosité contrastent avec les figures géantes qui s’imposent derrière elle et les mutilations qu’elle fait subir aux corps sur les toiles. L’œil plonge dans cet univers peuplé, le cerveau encore engourdi par l’appel de tous ces personnages, qui semblent exiger qu’on les écoute. Mais rien dans le sourire de Anne ne permet de débusquer l’origine de cette énergie explosive qui habite chacune de ses œuvres, celle qui saisit, qui interpelle tous les regards, même les plus réticents, qui rend sensible l’expérience et la rencontre avec cette peinture, sans échappatoire possible. A 55 ans, l’artiste n’en est pas à son coup d’essai. Depuis toujours elle dessine, et depuis toujours elle ne conçoit pas autrement le dessin que comme une improvisation, une projection d’elle-même et de son rapport au monde. Elle commence à griffonner sur des coins de tables à l’adolescence, puis encouragée par ses proches, elle intègre les Beaux-arts de Paris, dont l’académisme aura raison de sa formation, qu’elle quitte au bout d’un an et demi. « Les Beaux-arts étaient alors à l’opposé de ce que j’avais besoin d’exprimer. J’ai surtout décidé de partir, quand  j’ai compris que les cours finissaient pas m’inhiber totalement. Pour moi créer vient des tripes, il n’y a rien de théorique, et la réflexion peut s’avérer paralysante, au contraire le laisser aller génère les images, et permet l’exploration intime des pulsions et des sentiments. » Autour des squats et des milieux alternatifs, Anne hésite alors, elle se cherche et se lance dans la peinture, découvrant un nouveau rapport avec la matière et la couleur, elle choisit la voie de l’abstraction. «  En réalité, je me suis un peu perdue dans la recherche de la pureté formelle et peu à peu j’ai éprouvé le besoin de réintroduire des figures, des narrations, de raconter mes histoires. Aujourd’hui en revanche, toutes mes peintures proviennent de dessins préparatoires, ce qui ne m’interdit pas d’introduire des éléments que m’inspire la couleur. Il y a dans la peinture, une dimension peut-être plus jouissive, plus enveloppante qui enrobe  les formes par la matière comme le prolongement organique de l’ossature un peu sèche du trait et du dessin». Au gré des rencontres, la peintre invente son langage graphique et pictural. Elle collabore avec de nombreuses revues et travaille notamment sur l’érotisme féminin avec une poétesse australienne, June Shenfield. Elle réalise également des décors de théâtre, pour les opéras « porno-sociaux » de Jean-Louis Costes. « Je tisse concrètement mes représentations avec les hasards de la vie. Il n’y a aucune règle concernant l’origine d’une histoire, l’événement le plus anodin, l’actualité la plus lointaine, les images, les souvenirs, les occasions et les circonstances, peuvent me lancer sur de nombreuses thématiques. » La mise à nu des résonance intérieures Les influences se superposent, cohabitent. Les peintures s’incarnent et modélisent dans le travail formel. Les mises en scène et les compositions empruntent à la renaissance italienne ou flamande, transposent des symboles et des motifs universels dans la recherche d’harmonies ou de ruptures graphiques, à travers le jeu des métamorphoses qui fusionne ou tronçonne les corps. Comme dans la réinterprétation du tableau de Rembrandt, La leçon d’anatomie du docteur Tulp, où des femmes assistent à une dissection, le spectateur semble assister à la dissection de tous ces personnages, une anatomie des désir et des fantasmes qui oscillent entre l’amour et la mort. Une femme dans son cercueil navigue à vue entourée de tous les autres êtres qui ont peuplé sa vie. «  Mes influences sont très nombreuses, ça passe par la peinture, les gravures anciennes, mais également par toutes sortes d’images, comme ce livre sur les ânes, dont j’avais commencé à reproduire les photos, et qui a été à l’origine de toute une série. La mythologie également m’a toujours passionnée. Enfin il est évident que s’il n’y avait pas eu le surréalisme et l’expressionnisme, je ne peindrais pas comme je le fais. Pourtant, l’essentiel n’est pas là, pour moi l’art est l’expression d’un monde intérieur, et provient de la nécessité de donner à voir sa version des faits. Je ne me suis jamais sentie vraiment intégrée et j’ai besoin de comprendre ou du moins d’exprimer cette dissonance sociale, de témoigner du rapport à l’autre, en montrant la brutalité et la violence des sentiments.  Ce n’est pas tant la nudité qui m’inspire mais la mise à nue des affects, de toutes les pulsions, le collage graphique permet de condenser tous ce qui compose la complexité d’une personne. » Eplucher les différentes couches de personnalités, révéler l’omniprésence du corps derrière les rôles empruntés aux situations ordinaires, la palette traduit les mystères de l’altérité. Le visage d’Anne s’illumine d’une étrange force.  Quand elle referme la porte sur son univers,  on comprend enfin la force de son envoûtement, car les images restent, gravées dans la mémoire, prêtes à hanter et à ressurgir, en écho à nos propres affects. Lucie Servin -Le calamar noir
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  • Anne Van Der Linden

    Anne Van Der Linden

    Artiste peintre et dessinatrice

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    Ecce homo

    Il y a 9 ans

    / Editions

    • 1 - Ecce homo 1 2014
      Ecce homo 1 2014
    • 2 - Ecce homo 2
      Ecce homo 2
    • 3 - Ecce homo 3
      Ecce homo 3
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    Livre d'artiste, texte manuscrit de Christophe Comentale, dessins sérigraphiés et tamponnés de Anne van der Linden sur cahier chinois, couverture toilée, 9 exemplaires.
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  • Anne Van Der Linden

    Anne Van Der Linden

    Artiste peintre et dessinatrice

    www.annevanderlinden.net

    Dessins bâtards

    Il y a 9 ans

    / Actualités

    • 1 - dessin bâtard1
      dessin bâtard1
    • 2 - dessin bâtard 2
      dessin bâtard 2
    • 3 - dessin bâtard 3
      dessin bâtard 3
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    Dessins bâtards
    Sortie du port-folio "Dessins bâtards" par Anne van der Linden et Placid - treize sérigraphies en deux couleurs au format A3 tiré à 130 exemplaires par Mathieu Desjardins des éditions Méconium
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  • Anne Van Der Linden

    Anne Van Der Linden

    Artiste peintre et dessinatrice

    www.annevanderlinden.net

    "Carnage intime" éditions United dead artists

    Il y a 9 ans

    / Actualités

    • 1 - Amour siamois 2013
      Amour siamois 2013
    • 2 - Pinces à linge 2013
      Pinces à linge  2013
    • 3 - Leçon d'anatomie pour dames 2013
      Leçon d'anatomie pour dames 2013
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    "Carnage intime" éditions United dead artists
    Mon livre "Carnage intime"vient de paraître aux éditions United dead Artists, 60 pages de peintures et dessins réalisés entre 2006 et 2014 - impression offset quadrichromie sur papier Rives, dos carré, 26 X 17 cm.
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