Il sort en 2015 le « Dude Manifesto » (chez Denise Labouche) et vit depuis officiellement son Dudisme frenchy en restant intègre à lui-même. Par exemple, tous les vendredis, depuis près de deux ans, il invite des dudes (des épicuriens qui se laissent vivre, au moins le vendredi...) à partager un couscous royal lors du « Vendredi Des Dudes » dans une brasserie du 19ème (38, rue du Maroc). « TH » a fait la couverture du magazine Technikart en 2003 pour son originalité artistique - les réseaux, l'art immatériel ou parfois très physique (...) - et son ton unique (son style « casseur2hype ») et depuis l'age d'or du SDH, il récolte des articles avec ses productions sonores ou littéraires en faisant mouche sur l' « époque2merde » la critiquant de manière très directe, frontale (coups de boule sémantiques) utilisant rarement le second degré, qu'il laissera aux petits malins et en proposant surtout des alternatives comme ce Dudisme revisité qu'il explique avec humour et profondeur dans son manifeste.

Attention actionnaires s'abstenir, « TH » n'est pas un artiste qui plaira aux suckers du consensus marchand ou aux poseurs du paradigme snob. De nos jours, le punk (son esprit, sa pratique) n'est pas forcément les pirouettes d'un artiste subventionné, les tubes d'un groupe de hipsters qui joue trop bien de la guitare vintage ou un über-bobo qui collectionne des synthés analogiques hors de prix planqués dans le studio d'un papoune producteur ou d'une relation sponsorisée (comme ce marchand de soda dégueu) mais peut être, un mec, un dude, riche de sa liberté (relative) qui balance, dans son dépouillement ascétique, sa vérité, une poésie directe avec ses Kaoss Pads, son PC et ses boites à rythmes bancales depuis son studio : l'Antre du Thao (nom de son chat).  Le Dude du 19ème n'oubliera pas cependant de rester ouvert à l'écoute de sa loi interne : « Fuck My Rules » et ne lésinera jamais à produire des tracks mutants aux limites extrêmes d'une expérimentation chaotique hybridée d'EDM (!) et là, réside le paradoxe de sa Liberté.

Serge Balasky - photo : Jacob Khrist ©"/> META - BIO - couv_technikart_2003

Il est, entre autres, le créateur d' « APPROVED BY ALIBI-ART » - le logo entropique, esséminé dans le réel et sur Internet depuis 1999 sous forme d'un tampon et pochoir révélateurs d'une vérité toute contemporaine - et il est aussi le fondateur du « Syndicat du hype (SDH) » : un réseau parisien de gatecrashers fêtards mais aussi d’écrivains, poètes, informaticiens-programmeurs et d'artistes plasticiens. L'oeuvre collective a squatté dès 2002, la une et les colonnes des magazines urbains-culturels dits « branchés » ainsi que la presse nationale, pendant plus de dix ans.

« TH » est devenu ensuite par l'animation quotidienne de son web communautaire, un écrivain malgré lui, un poète de l'instant connecté ou plutôt un spammeur invétéré ("Crevard", son recueil de poésie cyberpunk est paru aux Caméras Animales en 2005). Après avoir (dés)organisé des soirées NIMP mémorables à la Gare aux Gorilles (le squat G.A.G - métro Corentin Carriou), il entame dès 2011, un projet de poésie sonore pop lo-fi, à base de spoken word mais aussi parfois de chants fragiles à la limite de la cassure, sobrement intitulé « 2000 What The Fuck » comprendre « le bordel WTF du 21ème siècle », projet produit en D.I.Y et développé en plusieurs actes (trois actes sont déjà finalisés). Le premier acte a été édité par Nukod et dernièrement les deux autres opus sur le label Jokari Garage.

Il sort en 2015 le « Dude Manifesto » (chez Denise Labouche) et vit depuis officiellement son Dudisme frenchy en restant intègre à lui-même. Par exemple, tous les vendredis, depuis près de deux ans, il invite des dudes (des épicuriens qui se laissent vivre, au moins le vendredi...) à partager un couscous royal lors du « Vendredi Des Dudes » dans une brasserie du 19ème (38, rue du Maroc). « TH » a fait la couverture du magazine Technikart en 2003 pour son originalité artistique - les réseaux, l'art immatériel ou parfois très physique (...) - et son ton unique (son style « casseur2hype ») et depuis l'age d'or du SDH, il récolte des articles avec ses productions sonores ou littéraires en faisant mouche sur l' « époque2merde » la critiquant de manière très directe, frontale (coups de boule sémantiques) utilisant rarement le second degré, qu'il laissera aux petits malins et en proposant surtout des alternatives comme ce Dudisme revisité qu'il explique avec humour et profondeur dans son manifeste.

Attention actionnaires s'abstenir, « TH » n'est pas un artiste qui plaira aux suckers du consensus marchand ou aux poseurs du paradigme snob. De nos jours, le punk (son esprit, sa pratique) n'est pas forcément les pirouettes d'un artiste subventionné, les tubes d'un groupe de hipsters qui joue trop bien de la guitare vintage ou un über-bobo qui collectionne des synthés analogiques hors de prix planqués dans le studio d'un papoune producteur ou d'une relation sponsorisée (comme ce marchand de soda dégueu) mais peut être, un mec, un dude, riche de sa liberté (relative) qui balance, dans son dépouillement ascétique, sa vérité, une poésie directe avec ses Kaoss Pads, son PC et ses boites à rythmes bancales depuis son studio : l'Antre du Thao (nom de son chat).  Le Dude du 19ème n'oubliera pas cependant de rester ouvert à l'écoute de sa loi interne : « Fuck My Rules » et ne lésinera jamais à produire des tracks mutants aux limites extrêmes d'une expérimentation chaotique hybridée d'EDM (!) et là, réside le paradoxe de sa Liberté.

Serge Balasky - photo : Jacob Khrist ©

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Il y a 4 ans


Il sort en 2015 le « Dude Manifesto » (chez Denise Labouche) et vit depuis officiellement son Dudisme frenchy en restant intègre à lui-même. Par exemple, tous les vendredis, depuis près de deux ans, il invite des dudes (des épicuriens qui se laissent vivre, au moins le vendredi...) à partager un couscous royal lors du « Vendredi Des Dudes » dans une brasserie du 19ème (38, rue du Maroc). « TH » a fait la couverture du magazine Technikart en 2003 pour son originalité artistique - les réseaux, l'art immatériel ou parfois très physique (...) - et son ton unique (son style « casseur2hype ») et depuis l'age d'or du SDH, il récolte des articles avec ses productions sonores ou littéraires en faisant mouche sur l' « époque2merde » la critiquant de manière très directe, frontale (coups de boule sémantiques) utilisant rarement le second degré, qu'il laissera aux petits malins et en proposant surtout des alternatives comme ce Dudisme revisité qu'il explique avec humour et profondeur dans son manifeste.

Attention actionnaires s'abstenir, « TH » n'est pas un artiste qui plaira aux suckers du consensus marchand ou aux poseurs du paradigme snob. De nos jours, le punk (son esprit, sa pratique) n'est pas forcément les pirouettes d'un artiste subventionné, les tubes d'un groupe de hipsters qui joue trop bien de la guitare vintage ou un über-bobo qui collectionne des synthés analogiques hors de prix planqués dans le studio d'un papoune producteur ou d'une relation sponsorisée (comme ce marchand de soda dégueu) mais peut être, un mec, un dude, riche de sa liberté (relative) qui balance, dans son dépouillement ascétique, sa vérité, une poésie directe avec ses Kaoss Pads, son PC et ses boites à rythmes bancales depuis son studio : l'Antre du Thao (nom de son chat).  Le Dude du 19ème n'oubliera pas cependant de rester ouvert à l'écoute de sa loi interne : « Fuck My Rules » et ne lésinera jamais à produire des tracks mutants aux limites extrêmes d'une expérimentation chaotique hybridée d'EDM (!) et là, réside le paradoxe de sa Liberté.

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